Archive for avril 2009

1er Mai.

avril 30, 2009

http://www.youtube.com/watch?v=RO4S61LFR2w

http://www.youtube.com/watch?v=LsnChesqs4s

http://www.youtube.com/watch?v=CN3O6vZh_Mk

Le silence de la mer.

avril 30, 2009

France 3 – 20h35 – jeudi30/4      téléfilm de Pierre Boutron avec Julie Delarme, Thomas Jouannet, Michel Galabru,

Hiver 1941. Dans un village de la France occupée, Jeanne et sont grand-père sont contraints de loger Werner, un officier allemand amoureux de la culture française, mélomane averti.

Entre Werner et Jeanne, tout sentiment est impossible. Bien que la musique les rapproche, la guerre les sépare…

Une histoire magnifique parfaitement réalisée et interprétée.

http://www.youtube.com/watch?v=EwvyCAhRbkw

Fasciste en visite en France.

avril 30, 2009
Avigdor Lieberman est le ministre des affaires étrangères du gouvernement le plus ouvertement raciste d’Israël depuis la création de cet état il y a soixante ans.

Un gouvernement qui poursuit l’étranglement et le massacre du peuple palestinien, tandis que Lieberman préconise la déportation des survivants.
Et c’est un terroriste pareil que Kouchner ose inviter en France. Lieberman a fait savoir qu’il viendra parader le Mercredi 6 Mai à Paris dans le cadre d’une « tournée » Européenne passant également par Rome et Berlin.

Au nom de la défense la plus élémentaire des droits de l’homme, il est de notre devoir à tous de nous y opposer. L’heure est à la mobilisation. Une réunion d’urgence de toutes les organisations et partis solidaires du peuple palestinien se fera au cours des prochaines heures. Nous y appellerons à une

manifestation massive mardi 5 Mai à 18h30

devant le ministère des affaires étrangères quai d’Orsay (métro Invalides)http://europalestine.com/spip.php?article4066

Amos Oz : La nature des rêves.

avril 30, 2009

ARTE – 22h20 – jeudi 30/4

À l’occasion de son 70e anniversaire, portrait au long cours du grand écrivain israélien et militant de la paix. Une chronique littéraire doublée d’une réflexion sur l’engagement politique.

Amos Klausner, devenu Oz – le nom qu’il se choisit en entrant au kibboutz à 15 ans et qui signifie « force et courage » en hébreu -, est né à Jérusalem en 1939, de parents intellectuels arrivés d’Ukraine et de Lituanie quelques années plus tôt. Il est l’auteur de plus de 450 récits et essais et d’une vingtaine de romans, dont Les terres du chacal (1965), La boîte noire (1987, Prix Femina), Seule la mer (2002) et d’un superbe récit autobiographique dédié à ses parents, Une histoire d’amour et de ténèbres (2003). Douloureusement marqué par son engagement dans les rangs de Tsahal lors de la guerre des Six Jours et du Kippour, il participe à la fondation du mouvement La Paix Maintenant en 1977. Un temps compagnon de route du parti travailliste, il s’en éloigne pour fonder en novembre 2008, avec d’autres militants de gauche, le Nouveau Mouvement (Nouveau Meretz). Celui-ci a été laminé lors des élections de février dernier, qui ont vu la droite – y compris extrême – triompher après l’opération « Plomb durci » à Gaza. Mais Amos Oz n’abandonne pas son combat pour la création d’un État palestinien, fustigeant lors de ses interventions aussi bien l’Europe pour ses responsabilités historiques dans la crise endémique au Proche-Orient que les États-Unis pour leur soutien souvent inconditionnel à Israël. Les réalisateurs ont accompagné l’écrivain durant un an et demi lors de ses déplacements en Israël, à New York, en Autriche et en Allemagne, avant de le retrouver dans son havre de paix, la petite cité de Arad au nord du désert du Neguev, où il est installé depuis 1986. « Ne faites pas l’amour, dit-il, mais la paix ! »
Rediffusions :
04.05.2009 à 23:50
www.arte.tv

 

Les filles des ruines.

avril 30, 2009

France 2 – 22h55 – jeudi 30/4     documentaire de Xavier Villetard

Pendant la Seconde Guerre mondiale, des femmes violentées au cours de la bataille de Berlin ont raconté leur traumatisme dans des récits écrits personnels.

Envoyé spécial.

avril 30, 2009

France 2 – 20h35 – jeudi 30/4

Hôpital-clinique : la guerre de la santé.

L’hôpital privé a le vent en poupe face aux difficultés que l’hôpital public affronte. Gros plan sur une situation complexe.

Les désobéissants.

Contrôleurs SNCF, ils ne verbalisent plus les contrevenants, consommateurs, ils organisent des piques-niques dans les supermarchés sans payer : qui sont ces militants d’un nouveau genre qui au nom de la crise défient la loi.

http://videos.leparisien.fr/video/iLyROoafJJPI.html

La prospérité sans la croissance ? Inventer une alternative.

avril 29, 2009

Paradoxe des temps modernes. Les extraordinaires avancées des sciences et des techniques ont permis à l’humanité d’accumuler un savoir faire et une capacité de production à même de satisfaire la plupart de ses besoins, et pourtant cette richesse potentielle, loin de se traduire par l’accomplissement des promesses du progrès, s’accompagne aujourd’hui d’une inégalité toujours accrue, d’une énorme demande sociale non satisfaite, et d’une pression croissante sur les conditions d’existence au nom du sacro saint rendement compétitif. Mais rendement de quoi ? Loin de permettre de libérer l’homme, l’intelligence, les énergies mobilisées, les efforts consentis, englués dans un système devenu inefficace, inadapté et dangereux, conduisent l’humanité à sa perte. Le système économique – dont la structure est un archaïsme hérité des temps obscurs où la rareté dominait – poursuit sa trajectoire aveugle et insoutenable qui nous rapproche inexorablement de l’épuisement des ressources primaires, et de la dévastation de notre planète. « Prosperity Without Growth ? » est un ouvrage (disponible gratuitement en ligne) publié par la Commission du Développement Durable, une agence gouvernementale du Royaume-Uni, qui ose aborder de front cette question brulante. La croissance, telle que nous la pratiquons, est dans l’impasse. Il faut repenser à nouveaux frais nos modèles de développement, et renoncer à la religion du PIB. Cela implique-t-il un retour aux privations ? Nullement. Les études effectuées de par le monde montrent qu’une fois atteint un niveau de revenu situé entre la moitié et les deux-tiers de ce qu’il est aujourd’hui aux USA, le sentiment de bien-être n’augmente plus en relation avec l’accroissement des revenus. Renoncer à la croissance, ce pourrait donc être simplement renoncer au « toujours plus » du consumérisme, à la recherche vaine de la distinction par les colifichets du « je le vaux bien » narcissique. Une telle révolution, non seulement économique mais également culturelle, est possible, nous dit la Commission Britannique, qui indique en s’appuyant sur les travaux de l’économiste canadien Peter Victor que cela permettrait également de travailler moins. Nous publions ci-dessous la note de lecture de cet ouvrage rédigée par Charles Siegel pour Common Dreams, et fournissons le lien de téléchargement.

Lire la suite : http://contreinfo.info/article.php3?id_article=2688

 

Plate-forme pour le relèvement des allocations sociales au-dessus du seuil de pauvreté et pour la suppression de la discrimination vis-à-vis des cohabitant(e)s

avril 29, 2009

Nous,

travailleurs et travailleuses, avec ou sans emploi, allocataires, pensionné(e)s, syndicalistes, travailleurs et travailleuses sociaux, citoyen(ne)s, mandataires, associations et organisations,

demandons au Gouvernement et aux Parlementaires de

soutenir le relèvement des allocations sociales au-dessus du seuil de pauvreté et la suppression de la discrimination vis-à-vis des cohabitant(e)s.
 

Les allocations octroyées par les CPAS (Revenu d’Intégration Sociale) sont (en mars 2009) de 711 euros par mois pour un isolé et de 474 euros par mois pour un cohabitant.

Ces allocations sont insuffisantes pour permettre de vivre et garantir effectivement le droit des personnes à la dignité humaine. Elles doivent être au moins relevées au niveau du seuil de pauvreté (878 euros par mois pour un isolé, selon l’enquête SILC 2007). Il ne suffit pas de mesurer la pauvreté, il faut la combattre!

De plus, le système actuel, qui leur octroie une allocation réduite, est discriminatoire vis-à-vis des cohabitants, et en particulier pour les femmes, qui sont les premières touchées par cette mesure. Nous refusons qu’on continue à pénaliser, pour l’accès aux allocations sociales, le choix des personnes de vivre en couple. Nous refusons que l’on contraigne ces personnes à choisir entre renoncer à une vie de famille ou vivre celle-ci en fraude, avec les risques que cela comporte. Les allocations de chaque cohabitant doivent êtres égales à celles des isolés.

Les autres allocations sociales et minimums sociaux (pensions minimales, chômage, allocations aux personnes handicapées, aux malades et invalides,  et garantie de revenus aux personnes âgées… ) doivent également être portées au-dessus du seuil de pauvreté et au même niveau pour les cohabitant(e)s que pour les isolés. En 1980, l’allocation de chômage moyenne représentait 41% du revenu moyen, aujourd’hui celle-ci n’est plus que de 27% de celui-ci. Ce glissement des allocataires vers la pauvreté est inacceptable.

D’après l’évaluation réalisée par la Cour des comptes, le coût du relèvement des allocations au dessus du seuil de pauvreté serait d’à peine plus d’un milliard d’euros.

Nous estimons que ce serait un effort très raisonnable et à notre portée : la fraude fiscale coûte à elle seule chaque année 20 milliards d’euros (et celle-ci provient à 57% des 10% des ménages les plus riches). Il faut diminuer les avantages donnés aux ultrariches pour garantir le bien être de tous et permettre à chacun de vivre dignement.

Afin de permettre à tous les travailleurs de bénéficier d’une plus juste part de la richesse nationale, le salaire minimum garanti (1.399 euros bruts en mars 2009) doit parallèlement être relevé. Il faut également  augmenter le financement fédéral des CPAS, pour éviter de faire porter aux communes pauvres l’essentiel du coût de la lutte contre la pauvreté.

Nous appelons l’ensemble des démocrates et des progressistes à construire un large front pour soutenir l’adoption d’une loi ou de toute autre disposition relevant les allocations sociales au-dessus du seuil de pauvreté et supprimant la discrimination vis-à-vis des cohabitant(e)s. Dans la mesure de nos moyens, nous organiserons et prendrons part aux actions de sensibilisation menées en ce sens.

Pour signer la plate-forme, rendez vous sur le site : http://www.releverlesallocationssociales.be/

Un bébé de quatre mois en rétention !

avril 29, 2009
On diffuse en urgence les messages reçus. Il est à craindre que le ministre de la rafle et du drapeau n’ait décidé d’aller très vite. Il faut donc réagir aussi très vite.
 
 

Monsieur BAKHSHIYAN est Arménien, son épouse est Russe, leur bébé aura quatre mois le 2 mai, et Alexandre, l’aîné, a 9 ans. Ils ont été arrêtés cette nuit ou ce matin, à Gray, et pour l’instant, personne ne sait où ils se trouvent !

 

Un bébé de 4 mois en rétention !

 

La commission nationale de déontologie et de la sécurité (CNDS) publie son rapport et écrit :

 

«  Par ailleurs, la Commission recommande d’inclure dans le CESEDA l’interdiction absolue de placement de mineurs dans un local de rétention administrative, compte tenu des exigences limitées de la réglementation à l’égard de ce type de structures et de leur inadaptation à l’accueil des enfants. »

http://www.cnds.fr/rapports/ra_pdf/Etude_Mineurs.pdf .

 

Monsieur BAKHSHIYAN est Arménien, son épouse est Russe, leur bébé aura quatre mois le 2 mai, et Alexandre, l’aîné, a 9 ans. Mercredi matin, 28 avril 2009, à 6 h du matin, Maria, la maman, son bébé, son fils très bon élève à l’école de Gray (Haute Saône) et le papa Sergey Bakshiyan ont été arrêtés chez eux. A midi, ils arrivaient à Nîmes.

On laisse imaginer à nos lecteurs la brutalité qu’a subie cette famille. Cueillie avant l’aube, les enfants arrachés au sommeil par l’intrusion de la police, immédiatement placés dans un véhicule et hop départ pour Nîmes, à l’autre bout de la France. Le bébé a-t-il eu droit à un biberon, à des couches ? Rien ne nous le dit.

Alors que leur avocat, Me Colle, a déposé un recours devant la cour d’Appel à Nancy, ils sont traités comme des criminels dangereux qu’il faut absolument mettre hors d’état de nuire.

 

Les policiers, le préfet, le ministre ne doivent pas avoir lu la recommandation de la CNDS.

 

Ou bien la politique du chiffre, la culture du résultat, la poursuite de la chasse aux familles, aux jeunes scolarisés, aux travailleurs sans papiers justifie l’enfermement d’un bébé de quatre mois et de sa famille !

 

D’un côté des mots, des recommandations et de l’autre la sinistre réalité.

 

A nous de protester vigoureusement pour que les recommandations de déontologie deviennent des actes au lieu de rester lettre morte.

 

Faxer, écrivez, mailer à la préfecture de Haute Saône pour dire votre indignation. prefecture@haute- saone.pref. gouv.fr

 

Tel 03 84 89 18 00‎   Fax 03 84 89 18 18 

 
 
Campagne de mails de protestation à adresser à la Préfecture de Haute-Saône :
une seule adresse disponible : prefecture@haute- saone.pref. gouv.fr


Fax ministère : 01 77 72 61 30 et 01 77 72 62 00  Standard 01 77 72 61 00
Ministre eric.besson@iminidco.gouv.fr
Secrétaire général secretariat.general@iminidco.gouv.fr
Secrétaire général : patrick.stefanini@iminidco.gouv.fr
Directeur de cabinet :  christian.decharriere@iminidco.gouv.fr
Directeur adjoint du Cabinet : frank.supplisson@iminidco.gouv.fr
Conseillère en communication laure.frugier@iminidco.gouv.fr
Conseillère en charge des relations avec le monde associatif, social et culturel  laura.kwiatowski@iminidco.gouv.fr

 
 
Elysée fax : 01 47 42 24 65
http://www.elysee.fr/ecrire/index.html
GUEANT <claude.gueant@elysee.fr>
LOUVRIER <franck.louvrier@elysee.fr>
Maxime Tandonnet (conseiller immigration) maxime.tandonnet@elysee.fr

  A diffuser largement

La politique de Mr Besson, de la casse des familles, de la violence faite à des enfants bat son plein pendant les vacances scolaires, avec le moins de témoins possible. Après une famille à Vesoul il y a quelques jours, après une famille à Luxeuil, ce matin c’est à Gray.
Maria, la maman, son bébé, son fils très bon élève à l’école de Gray et le papa Sergey ont « disparu », leur portable ne répond plus.
 Nous étions avec eux hier soir jusqu’à plus de 23h, nous leur avions dit de garder confiance, Me Colle leur avocat a déposé un recours devant la cour d’Appel à Nancy, et nous avions projeté de nous rendre en Préfecture d’ici quelques jours afin de trouver une solution humaine à leur situation.
Mais la chasse aux familles bat son plein, après la famille Aouchev en 2008 à Gray, expulsée par avion spécial le 19 mai depuis Dole Tavaux, les ministres passent mais le nouveau ministre doit montrer qu’il a été bien choisi par ses pairs. Nous allons envoyer les dessins de Sasha Bakshiyan, le garçon, à Monsieur le président de la République et à son épouse très médiatique.
Il est des matins pluvieux où même vomir ne sert à rien !
Il est des jours où on aime le cinéma comme Welcome!

Nous vous invitons à demander à la préfecture où est passé le bébé et de protester contre ces méthodes honteuses!

A diffuser largement sans modifier Merci.

http://www.dailymotion.com/video/x5u5bg_map-la-chasse-est-ouverte_music

 

OGM : la menace des « super mauvaises herbes » s’amplifie.

avril 29, 2009

Cinq mille hectares de culture de soja transgénique ont été abandonnés par les agriculteurs en Géorgie, et 50.000 autres sont gravement menacés par une mauvaise herbe impossible à éliminer, tandis que le phénomène s’étend à d’autres états. La cause : un gène de résistance aux herbicides ayant apparemment fait le grand bond entre la graine qu’il est censé protéger et l’amarante, une plante à la fois indésirable et envahissante…

En 2004, un agriculteur de Macon, au centre de la Géorgie (à l’est des Etats-Unis), applique à ses cultures de soja un traitement herbicide au Roundup, comme il en a l’habitude. Curieusement, il remarque que certaines pousses d’amarantes (amarante réfléchie, ou Amarantus retroflexus L.), une plante parasite, n’en semblent pas incommodées… Pourtant, ce produit est élaboré à partir de glyphosphate, qui est à la fois l’herbicide le plus puissant et le plus utilisé aux Etats-Unis.

Depuis, la situation a empiré. Actuellement, et rien qu’en Géorgie (USA), 50.000 hectares sont atteints et nombre d’agriculteurs ont été contraints d’arracher leurs mauvaises herbes à la main… quand c’est possible, considérant l’étendue des cultures. A l’épicentre du phénomène, 5.000 hectares ont été tout simplement abandonnés.Comment en est-on arrivé là ?

 

Tous les champs victimes de cette envahissante mauvaise herbe avaient été ensemencés avec des graines Roundup Ready, produites par la société Monsanto. Celles-ci comportent une semence ayant reçu un gène de résistance au Roundup, un herbicide également produit par Monsanto. L’argument publicitaire de la firme repose sur le moindre coût représenté par le traitement d’une culture ainsi protégée contre un herbicide total auquel elle est devenue insensible, plutôt que de l’application d’un herbicide sélectif, plus cher à l’achat.

Selon un groupe de scientifiques du Centre for Ecology and Hydrology, organisation britannique à Winfrith (Dorset), il y aurait eu transfert de gènes entre la plante OGM et certaines herbes indésirables, comme l’amarante. Bien que considéré comme très faible car n’ayant jamais été détecté lors d’essais, le risque ne serait cependant pas nul.

Pour Brian Johnson, généticien et chercheur britannique, spécialisé, entre autres, dans les problèmes liés à l’agriculture, la cause ne fait aucun doute. « Il n’est nécessaire que d’un seul évènement (croisement) réussi sur plusieurs millions de possibilités. Dès qu’elle est engendrée, la nouvelle plante est titulaire d’un avantage sélectif énorme, et elle se multiplie rapidement, martèle-t-il. L’herbicide puissant utilisé ici, à base de glyphosphate et d’ammonium, a exercé sur les plantes une pression énorme qui a encore accru la vitesse d’adaptation. »

Lire la suite : http://www.radioairlibre.be/infos/ogm_super_mauvaises_herbes.htm

Quand donc les politiques reprendront-ils la main et appliqueront-ils le principe de précaution, s’il n’est déjà pas trop tard. L’intérêt financier de quelques-uns ne doit pas passer avant la sauvegarde de notre environnement et de notre futur.

http://la-croix.com/article/index.jsp?docId=2370572&rubId=5547