Archive for septembre 2010

Partitions Ottomanes.

septembre 30, 2010

ARTE -22h15 – jeudi 30/9                   documentaire

Capitale européenne de la culture cette année, Istanbul n’est pas en reste côté musique. Celle-ci s’est enrichie sous l’influence de sa population multiethnique. Illustration avec le groupe Karde Türküler qui a brisé un tabou national en ajoutant à son répertoire des morceaux arméniens, syriens et tsiganes. Le documentaire part à la recherche de ces traces sonores, pour mieux cerner le mode de vie, le rapport à l’histoire et les allées et venues des minorités de la métropole. Ainsi l’importante communauté juive de Thrace, chassée de la région vers 1935, a rejoint Istanbul avant d’émigrer massivement vers Israël vingt ans plus tard. Les Grecs ont quitté la ville à la même époque. Leurs chants faisaient d’Istanbul une ville joyeuse et colorée. Plus récemment, la population rom a été expulsée de Sulukule, quartier historique donnant sur le Bosphore.

Rediffusions :
03.10.2010 à 05:00

www.arte.tv

Takva, l’homme qui craint dieu.

septembre 30, 2010

ARTE – 20h 40 – jeudi 30/9                  d’Ö. Kiziltan

À Istanbul, le pieux Muharrem, membre d’une confrérie musulmane rigoriste, mène une existence austère, partagée entre la mosquée et son emploi chez un petit marchand. Sa foi et son dévouement lui valent d’être choisi par son cheikh pour un emploi de confiance : prendre soin de l’important patrimoine immobilier de la confrérie à travers la ville, notamment en collectant les loyers. Du jour au lendemain, déguisé en riche homme d’affaires, il découvre un monde profane dont il ignorait tout. Et vacille sous des chocs successifs, submergé par des tentations inconnues.

Rediffusions :
11.10.2010 à 01:00

www.arte.tv

http://videos.arte.tv/fr/videos/takva_l_homme_qui_craint_dieu_extrait_-3444234.html

Noyautage ?

septembre 30, 2010

Diana Barati, présidente du CA de l’Autorité européenne de la sécurité alimentaire est également membre d’une organisation favorable aux OGM.

(Le Soir – 30/09/2010)

France : Vive le Roundup !

septembre 30, 2010

Par Napakatbra  

L’amendement sur les « préparations naturelles peu préoccupantes » (PNPP) a été définitivement rejeté cet été. Exit les purins d’orties, de consoudes, de fougères et de prêles… Vive le Roundup !

L’histoire commence il y a cinq ans. Suite au vote de la loi d’orientation agricole (LOA) de 2005, les phytosanitaires naturels étaient devenus hors-la-loi. Quelques mois plus tard, Eric Petiot se retrouvait menotté, et jeté dans un panier à salade. Ce dangereux horticulteur ultra-autonome avait en effet commis des livres aux titres aussi subversifs que « Les soins naturels aux arbres« , dans lesquels il refilait ses bons tuyaux sur la confection de décoctions naturelles pour soigner ses carrés de légumes… Des recettes ancestrales qui font leurs preuves depuis que l’homme a découvert la binette.

Lire la suite : http://altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article14769

http://girard.guilleme.pagesperso-orange.fr/purin.htm

Pistés par nos gênes.

septembre 29, 2010

La Trois – 22h45 – mercredi 29/9                        documentaire

Alors que la question des libertés publiques anime les débats du monde moderne, le patrimoine génétique humain est en passe de devenir un outil de surveillance.

septembre 29, 2010

Le 6 décembre approche, vous pouvez compter sur les magasins et vos enfants pour vous le rappeler.

Malheureusement la joie n’est pas la même pour tous.

Pourtant, ce serait simple de leur apporter un peu de bonheur : alors, rassemblez dans votre entourage, au bureau, à l’école, dans votre entreprise des jouets, des livres, des jeux de société … en excellent  état. Nous nous chargerons de les récolter et d’aider le grand saint à les distribuer.

Nous devons trier tous les jouets car il est évident que nous ne pouvons donner que des jeux impeccables : aucun enfant ne souhaiterait recevoir un jouet abîmé, incomplet ou cassé.

Dans ce tri nous distinguons 3 types de jouets :

     – ceux qui peuvent être donnés directement

     – ceux qui doivent être jetés (voiture sans roues, poupées maquillées, ..;)

     – ceux qui doivent être vérifiés.

Pour ce faire, nous avons des équipes de bénévoles formidables qui passent des heures à faire des puzzles, à vérifier les jeux de société (on arrive parfois à refaire un jeu à donner à partir de 2 ou 3 autres jeux incomplets), à laver et habiller les poupées.

Enfin nous avons un partenariat avec la section « électricité » de l’Institut Saint Laurent de Fléron qui répare les jouets électriques qui ne fonctionnent plus.

Nous donnons ainsi une deuxième vie aux jouets, ce qui nous a permis l’an passé de gâter 732 enfants.

Nous faisons des colis pour des familles qui sont suivies par le service social de notre association ou dont les coordonnées nous sont transmises par des écoles ou des services sociaux.

Nous aidons aussi de nombreuses associations qui travaillent avec des familles défavorisées (Femmes battues, ONE, écoles de devoirs, maisons de quartier…).

Nous avons chaque année de moins en moins de jouets en bon état et chaque année, nous manquons cruellement de jeux pour les enfants de 8 à 12 ans. Or les grands frères et grandes soeurs aiment aussi recevoir des cadeaux.

Nous avons besoin de vous pour récolter un maximum de jeux (Province de Liège)

Où les apporter ?

– rue Surlet 32-34 à 4020 LIEGE

– en téléphonant au 04/341 10 96

Merci pour eux,

ASBL « Assistance à l’Enfance/Parents-Secours ».

Pour Bassenge : dépôt 35 rue Vinâve, 4690 BASSENGE (O4/286 28 83)

Parlez-en autour de vous !

http://www.parents-secours.be/

http://www.guidesocial.be/assistancealenfance/

Bientôt « Soleil vert » ?

septembre 29, 2010

Pour Alain Minc, les dépenses de santé des « très vieux » sont un luxe.

Ce proche de Nicolas Sarkozy veut que les dépenses de santé des « très vieux » soient prises en charge par eux-même ou par leur famille.

Lire l’article : http://www.lepost.fr/article/2010/05/08/2065684_pour-alain-minc-les-depenses-de-sante-des-tres-vieux-sont-un-luxe.html

Tout l’or du monde.

septembre 29, 2010

ARTE – 0h – mercredi 29/9                            

Les conséquences de l’installation d’une usine d’extraction aurifère – qui voyage d’un continent à l’autre – sur la vie des habitants d’un site minier de Guinée. Un exploit industriel qui cache de nombreux drames humains.

Une imposante usine d’extraction d’or est démontée sur l’île de Bornéo, en Indonésie, transportée par mer, puis reconstruite à l’identique sur le site aurifère d’une région agricole de Guinée, en Afrique de l’Ouest. Au-delà de l’exploit logistique, le documentaire de l’Australien Robert Nugent s’attache aux bouleversements provoqués par l’implantation d’une multinationale de l’extraction dans la vie des villageois et dans leur environnement. Tout comme à Bornéo, des ingénieurs venus d’Angleterre, d’Australie et d’Afrique du Sud se basent sur les indications des autochtones pour installer leur usine clé en mains, puis leur en interdisent l’accès. Un véritable drame dans cette région de Guinée où l’on est paysan, mais aussi mineur, selon la saison. L’or tient une place essentielle dans l’économie locale. Les témoignages recueillis au cours de la mise en place, puis de l’exploitation de la nouvelle mine, disent le délitement de l’organisation traditionnelle de la société africaine : si certains voient dans cette entreprise une source de revenus inespérés, la plupart ne font qu’en subir les conséquences négatives. Non-embauche des paysans, cupidité accrue, difficultés à préserver l’activité agricole sur un territoire dont les routes ont été coupées… À travers une approche dénuée de tout manichéisme, le réalisateur traduit l’incompréhension et la méconnaissance des ingénieurs occidentaux qui s’enorgueillissent de créer une école ou de conserver de la terre arable, réutilisable une fois le filon aurifère tari. Ces hommes se pensent porteurs de progrès, mais la solitude et le vide abyssal de leurs vies privées en font plutôt des naufragés du monde moderne. Du griot du village à l’ingénieur en chef en fin de carrière, ce documentaire exemplaire confronte deux visions du monde inconciliables autour de leur rapport au précieux métal jaune et capte les dramatiques (et irréversibles) changements induits par la mondialisation.

Rediffusions :
08.10.2010 à 10:05

www.arte.tv

Quand le rap dérape !

septembre 29, 2010

ARTE – 22h25 – mercredi 29/9                          suivi d’un débat

Marre des dérives sexistes du rap. Aux États-Unis, la communauté afro-américaine monte au créneau pour en finir avec les explicit lyrics.

« Il faut remettre cette chienne à sa place, même si tu dois lui en coller une. » Voici la traduction d’un extrait d’une chanson de Snoop Dogg, célèbre rappeur américain. Ces paroles d’une violence inouïe ont provoqué de vives polémiques partout dans le monde. Mais alors qu’en France, le rap violent et misogyne est (relativement) toléré, aux États-Unis, berceau de la culture hip-hop, il a trouvé un adversaire de taille : la communauté afro-américaine, dont de nombreux membres ont pourtant été à l’origine de ce style de musique il y a plus de vingt ans. « Que s’est-il passé pour que nous passions du slogan ‘black and proud’ (noir et fier de l’être) à ‘nigga’ (nègre), ‘bitch’ (salope) et ‘hos’ (pute) ? », s’interroge le révérend Al Sharpton, activiste des droits civiques. Ce combat ne cesse de s’amplifier jusqu’à déstabiliser les maisons de disques. Va-t-on finir par interdire le rap ? Ou simplement appliquer l’appel de Barack Obama à montrer moins de tolérance envers le gangsta-rap.

Femmes : pourquoi tant de haine ?

septembre 29, 2010

ARTE – 20h35 – mercredi 29/9                  documentaire

Des banlieues françaises aux États-Unis, où la communauté afro-américaine part en guerre contre le rap barbare et misogyne, Daniel Leconte enquête sur le retour des violences machistes.

2004, à Marseille : Ghofrane, 23 ans, est lapidée. 2005, à Neuilly-sur-Marne : Chahrazad, brûlée à 60 % par son ex-petit ami, est maintenue plus de six semaines dans un coma artificiel. 2009, Oullins, dans la banlieue de Lyon : Fatima, 22 ans, est étranglée par son frère… La jeune femme s’était fiancée et avait trouvé un emploi. Chaque jour, les services de police enregistrent plus d’une vingtaine de plaintes pour des actes de délinquance similaires… Cathy Sanchez s’est immergée plusieurs semaines à Vitry, là où, en 2002, Sohane, 17 ans, est morte brûlée vive dans un local à poubelles… La réalisatrice, qui s’était mobilisée à l’époque, veut comprendre comment les choses ont évolué. Pourquoi les violences faites aux femmes sont-elles trop souvent ignorées ou minimisées ? À travers les scènes de la vie quotidienne, les dits et les non-dits, se dégagent les valeurs autour desquelles se construit une certaine identité masculine et le constat d’une situation qui ne cesse de se dégrader.

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http://www.monde-diplomatique.fr/carnet/2010-10-01-Arte