Archive for juin 2011

Merci papa, merci maman. Agnès Bihl

juin 30, 2011

 

« Tu viens avec nous en Lybie ? Evidemment ! »

juin 30, 2011

Par Mario Franssen  

Vendredi matin 18 mars 2011, mon radio réveil s’enclencha et j’eu directement droit à une interview avec le ministre des Affaires Etrangères Vanackere. Il trépignait d’impatience de pouvoir partir en guerre contre la Libye.

 

Et malgré que les deux premiers points de la résolution 1973 du Conseil de Sécurité de l’ONU appèlent à une solution diplomatique, Vanackere ne parlait que du point 3 selon lequel ‘toutes les mesures’ sont permises. Il était donc très clair à quoi on pouvait s’attendre. Cela m’a rendu malade et j’ai juré.

 

La guerre me rend malade

Je ne sais pas ce que les gens ressentent lorsque l’on bat les tambours de guerre, mais moi j’en suis littéralement malade. Et quelques heures plus tard, après le débat au Parlement Belge, je ne me sentais pas mieux. Personne, je veux donc dire pas un seul membre du parlement, n’a voté contre ou s’est abstenu lors du vote sur le soutien de la Belgique à la guerre. Et cela alors que les membres de notre parlement ont l’habitude de palabrer durant des mois avant de prendre une décision et sont à ce jour occupés depuis plus d’un an à la formation d’un gouvernement.

Mercredi matin 8 juin, j’ai reçu un appel … me demandant si je voulais aller en Libye. Comme le souligne Michel Collon : “chaque guerre est précédée par des média-mensonges”, c’était donc une occasion unique d’aller m’en rendre compte sur place. Je n’ai donc pas hésité très longtemps, et vendredi 10 juin nous sommes partis avec 4 autres belges en direction de Tunis, en Tunisie. De là, nous avons continué le samedi matin avec 9 autres participants internationaux en direction de Tripoli, un voyage en car de 17 heures. Pendant 3 jours nous avons participé à une mission d’observation et à une conférence sur la guerre et les droits de l’homme sur invitation de l’ “Association des Avocats et Juristes de la Méditerranée”.

La suite de son article sur : http://michelcollon.info/Tu-viens-avec-nous-en-Libye.html

Et pourtant, il n’y a pas si longtemps …

 

 

 

« La nomination de Mario Draghi est-elle l’ultime symbole d’une porosité problématique entre banques d’investissement et institutions politiques ? »

juin 30, 2011

Par Agnès Rousseaux  

Mario Draghi, l’actuel gouverneur de la Banque centrale d’Italie, prendra la tête de la Banque centrale européenne à l’automne. Celui qui présidera aux destinées monétaires de la zone euro a travaillé pour l’une des plus puissantes banques du monde : Goldman Sachs. On la retrouve dans les récentes juteuses magouilles financières : crise des subprimes, spéculation sur les denrées alimentaires, manipulation des comptes de l’État grec… Plusieurs parlementaires européens s’inquiètent.

La suite de son article sur : http://www.bastamag.net/article1623.html

 

Des députés européens à la solde des multinationales.

juin 30, 2011

Par Sophie Chapelle  

La stratégie européenne pour sécuriser l’accès aux matières premières sera examinée au Parlement le 30 juin. On savait l’influence des grandes entreprises dans cette stratégie. C’est désormais le rôle controversé de plusieurs « députés européens ayant des intérêts dans des entreprises du secteur », qui vient d’être révélé dans un rapport de l’Observatoire européen des entreprises (CEO) rendu public le 27 juin. Des liens étroits se traduisant notamment par des « emplois rémunérés dans ces entreprises » ou par un « siège au sein même de leur conseil d’administration ».

La suite de son article sur : http://www.bastamag.net/article1637.html

Les nouveaux faux monneyeurs.

juin 30, 2011

Par Jean-Paul Marthoz  

Notre époque confuse n’en est plus à un paradoxe près. Alors que la vieille extrême droite d’antan voulait imposer ses Dieux et ses dogmes, c’est de la laïcité et de la liberté d’expression que se réclame aujourd’hui la droite de la droite de l’échiquier politique européen.

George Orwell, qui avait magistralement décrit dans son roman 1984 la subversion des mots par des régimes totalitaires, ne serait guère surpris par la novlangue ultra-populiste. Même si on imagine son effarement face à la tendance apparemment irrésistible d’une partie de l’opinion à se laisser berner, à intervalles réguliers, par des guides et des gourous autoproclamés…

La suite de son article sur : http://www.lesoir.be/debats/chroniques/2011-06-28/les-nouveaux-faux-monnayeurs-848033.php

 

Grèce, berceau de la démocratie !

juin 30, 2011

Projet de Nicolas Sarkozy :  (bon, c’était il y a longtemps, en 2007 et les promesses sont faites pour ceux qui veulent y croire )

Je suis un Européen convaincu. Je sais jusque dans ma propre histoire ce qu’il en a coûté à l’Europe d’être divisée. Mais je n’ai pas dit oui à la construction européenne tout au long de ces années pour avoir l’Europe que nous avons aujourd’hui. L’Europe ne doit pas être le cheval de Troie d’une mondialisation réduite à la circulation des capitaux et des marchandises, mais doit au contraire protéger ses peuples dans la mondialisation.

L’Europe est d’abord une grande culture. Elle doit agir dans le monde pour que les valeurs de la civilisation ne cèdent pas sous la pression des seuls intérêts commerciaux et financiers. Elle doit défendre les droits de l’homme, la démocratie, la protection des plus faibles, la solidarité, la protection de la nature.  (http://opinionpolitique.canalblog.com/archives/2007/04/20/4684804.html )

 

Aujourd’hui, la population grecque en prend plein la gueule !   A qui le tour, ensuite ?

http://bellaciao.org/fr/spip.php?article118654

http://panier-de-crabes.over-blog.com/article-accord-avec-les-agences-de-notation-pas-de-baisse-de-la-note-avant-les-presidentielles-78116893.html

 

Le gouvernement grec doit laisser partie la Flotille de la liberté.

juin 30, 2011

Rassemblement vendredi 1er juillet 18h00 Devant l’ambassade de Grèce à Paris (17, rue Auguste-Vacquerie 75116 Paris )

La campagne « Un bateau français pour Gaza » s’élève contre les entraves mises par les autorités grecques sur des bateaux de la Flottille, empêchant son départ. Le gouvernement grec ne doit pas céder aux pressions israéliennes. L’Union européenne ne doit pas être complice du blocus israélien.

La suite sur : http://www.france-palestine.org/article17736.html

 

Grande exposition sur les hirondelles.

juin 30, 2011

Où ? : à la salleRoyale des Fanfares d’Eben (à côté de l’église)

Quand ? 

les 8 et 9 septembre  : pour les écoles

les 10 et 11 septembre : pour tous.

Entrée gratuite.

Venez découvrir ce magnifique oiseau qui est en voie de disparition en Europe.

Conférence le 10 septembre à 11h

                              le 11 septembre à 14h.

Exposition subsidiée par la Région wallonne.

Bienvenue à tous. 

Renseignements : Ali 0475/82 28 86

Lire aussi : http://archives.lesoir.be/ali-ange-gardien-des-hirondelles_t-20101205-015K7X.html

http://www.rtc.be/content/view/9910/443/

Et Ali n’est pas seulement l’ami des hirondelles mais aussi des abeilles et de la nature en général.

Et Salah ? Et les prisonniers palestiniens ?

juin 29, 2011

Par Jean-Claude Lefort  

« L’anniversaire » des cinq années de captivité de Guilad Shalit a donné lieu à de nombreuses initiatives françaises, israéliennes et internationales particulièrement « appuyées ».

En France, le Président de la république a envoyé une lettre à Guilad Shalit demandant la libération immédiate et sans conditions du jeune soldat capturé sur son char à la lisière de la bande de gaza. Le Maire de Paris a décidé d’apposer sur la façade de l’Hôtel de ville de la capitale le portrait du jeune soldat de l’armée israélienne et a envoyé à Mahmoud Abbas une lettre lui demandant avec insistance d’intervenir pour sa libération. Sur son site « Internet » Bertrand Delanoë écrit que Guilad Shalit a été : « Enlevé à 19 ans, dans son sommeil ». Il était sur un char, en uniforme, comme chacun sait… La Maison Blanche, pour la première fois, a demandé sa libération « immédiate ». Quant à Ban-Ki-moon, le secrétaire général de l’ONU, il a fait de même, au mot près.

Cette mobilisation serait appréciable si elle n’était pas partisane. Or elle l’est terriblement. Elle serait appréciée si elle participait d’une volonté de défendre les droits humains et touts ceux qui sont victimes de leur violation. Or ce n’est pas le cas.

Tout d’abord, il est absolument incontestable que Guilad Shalit, présenté comme « franco-israélien », connaît un traitement des plus durs. C’est un prisonnier de guerre. Les Conventions internationales relatives à ce « statut » doivent s’appliquer, en particulier le droit de visite de la Croix Rouge internationale (CICR). Ce n’est pas le cas et nous ne pouvons que le déplorer vivement.

En second lieu, la libération nécessaire de Guilad Shalit est absolument possible mais Benjamin Netanyahu a, sèchement, rompu l’accord réalisé, sous l’égide d’un diplomate allemand, permettant la libération de Guilad Shalit en échange de la libération de prisonniers politiques Palestiniens. Cela personne ne le dit. Sauf ses parents de Guilad qui ont installé une tente à Jérusalem devant la résidence officielle de Benjamin Netanyahu et qui se plaignent de son refus.

Plutôt que d’écrire à Abou Mazen le Maire de Paris aurait du utiliser la bonne adresse postale : celle du premier ministre israélien qui détient, pour l’essentiel, les clés de sa libération entre les mains.

Toutes les déclarations évoquées ont ceci de particulier : elles ne s’adressent pas à celui qui peut le plus pour sa libération. Curieux, non ?

En troisième lieu, l’indignation sélective de toutes ces personnes disqualifie leur entreprise en noyant l’objet de leurs déclarations dans la mer de l’unilatéral.

Car il est un second prisonnier qui doit intéresser la France – un Franco-palestinien – qui était étudiant quand il a été arrêté par l’armée israélienne et qui depuis plus de 6 ans est en prison dans ce pays alors qu’aucun fait répréhensible n’a pu lui être reproché, pas même par le tribunal militaire qui l’a condamné à 7 ans de prison : il s’agit biens sûr de Salah Hamouri ! Il a été condamné sans preuves, juste sur une hypothèse ! Mais c’est le silence sur lui dans les grands médias. Pas une seule fois le président de la république n’a prononcé son nom et il refuse absolument de recevoir sa famille à la différence notable de celle de Guilad Shalit.

Il a écrit, paraît-il, à Netanyahu pour lui demander la « clémence » mais ce dernier, toujours sèchement, a refusé. Et cela a-t-il entraîné une réaction ferme de la France ? Rien. La France officielle se tait… et n’exige pas sa libération. « N’exige pas » – car il s’agit d’exiger là aussi. Salah Hamouri est localisable. Il n’est pas un prisonnier de guerre. C’est un franco-palestinien dont nous connaissons d’ailleurs le numéro de son passeport français.

Les deux cas sont différents, bien entendu. Aucune comparaison possible entre un prisonnier de guerre et un étudiant. Entre un soldat d’une armée d’occupation et un jeune civil. Mais ce qui n’est pas différent c’est que la liberté ne peut pas être à géométrie variable. Celui qui se trouve ou qui agit dans cette conception est disqualifié.

Et puis quel est donc le sort des 8.000 prisonniers palestiniens ? Car s’il y a un soldat israélien capturé il y a 8.000 prisonniers politiques dans les prisons israéliennes. 1 et 8.000… C’est même pire que la loi du Talion. Et qui en parle ? La Maison Blanche ? Le secrétaire général de l’ONU ? L’Elysée ? La Mairie de Paris qui pourtant a voté un vœu en faveur de la libération de Salah ? A quand son portrait sur la façade de l’Hôtel de ville ? Quand sera-tèil déclaré « citoyen d’honneur » de la Ville de Paris ?

Il n’est que Benjamin Netanyahu pour parler des prisonniers. Mais pas n’importe comment. A l’occasion de « l’anniversaire » de la capture de Guilad Shalit il a annoncé des mesures drastiques contre les prisonniers palestiniens qu’il traite tous de « terroristes ». Cela pour « montrer » qu’il fait quelque chose pour Guilad Shalit alors qu’il lui suffit de signer l’accord d’échange pour le libérer.

Il a annoncé des mesures de « durcissement » à l’encontre de ceux qui sont en prison en déclarant : « La fête est finie » ! La fête dans les geôles israéliennes qui sont comparables, en somme, au « Club Med ». Sordide arrogance…

Il veut réduire les fréquences des visites. Déjà, on ne le sait que peu, les Gazaouis sont interdits de visite depuis la mise en place du blocus. Ils sont 500 en prison et leurs familles ne les ont pas vus depuis 2007. Le CICR a d’ailleurs exhorté Israël de mettre un terme à cette situation. Les mesures d’isolement se renforcent. Les arrestations aussi se multiplient : d’autres députés du Hamas viennent d’être arrêtés brutalement.

D’autres mesures, sournoises mais terribles, sont également prises. Par exemple les « jugements » des tribunaux militaires israéliens sont formulés en « année administrative », c’est-à-dire qu’une année, selon la « justice » israélienne équivaut à 345 jours de détention. Malgré ces « jugements » l’administration pénitentiaire israélienne transforme ces années administratives en année pleine, soit 20 jours de plus. De sorte que des détenus qui devaient sortir sont toujours en prison. Celui qui a été condamné, par exemple, à 5 ans, fera 100 jours de plus – hors toute espèce de justice.

De l’Elysée à l’Hôtel de Ville de Paris on ne dit rien sur tout cela. Pas un mot. Et après cela ils s’étonneront que la colère se manifeste à leur endroit… C’est qu’ils l’ont cherché, tout simplement. Ils ont la liberté borgne.

http://france-palestine.org/article17725.html

 

Pourquoi je soutiens Alain Soral.

juin 29, 2011

Par Fatouche Ouassak  

La mission d’Alain Soral dans les banlieues de France

Monsieur Soral répète souvent que c’est grâce à ses livres sur la politique que les gens comme moi on lit et qu’on s’intéresse à ce qui nous arrive. Et c’est vrai qu’avant, on était là à glandouiller dans la cité, à voler des voitures, à insulter bêtement la France et les français de souche. Et puis Monsieur Soral est arrivé. Et il nous a donné son Livre. Et là, je dis pas que ça a été immédiat bien sûr, mais j’ai commencé petit à petit à m’éveiller, à comprendre le monde, et ma place dans ce monde. J’ai commencé à réfléchir.

Lire la suite sur : http://www.indigenes-republique.fr/article.php3?id_article=1364