En 2011, le peuple a fait un retour tonitruant sur la scène publique. Du Printemps arabe aux Indignés, un peuple mondial a surgi devant des situations vécues comme insupportables. L’analyse de l’historien des idées François Cusset.
« Car elle a mis en œuvre, sans aucun complexe et même avec provocation, un système de surveillance et de contrôle stigmatisant les jeunes flânant sur la côte. » C’est par ces termes que la zone de police Westkust a reçu le Big Brother Award du public.
Pie Tshibanda à Bassenge, salle La Passerelle, le samedi 3 mars à 20H.
Il est invité par les jeunes de la Vallée du Geer qui se rendront en juillet 2012 au Cameroun dans le cadre d’un projet d’amitié avec la paroisse de MVOG-BETSI dans la banlieue de YAOUNDE.
Participation : Adultes : 12€
Enfant (- 15 ans) :6€
Réservation indispensable dès à présent :
Albert Sauveur : 04/286 14 79
Secrétariat paroissial : 04/286 30 01
Attention : le paiement s’effectue à l’entrée. Mais soyez à l’heure !
Les places réservées, non occupées à 20h15, seront libérées.
Des super lapins produisant des médicaments, des cochons « Enviropig » génétiquement modifiés pour moins polluer, des saumons « Frankenfish » qui grandissent deux fois plus vite, des vaches hypermusclées, ou des chèvres dont le lait fabrique de la soie… Des États-Unis à la Chine, les chercheurs s’en donnent à cœur joie pour greffer des gènes et croiser des espèces. Et attendent avec impatience les autorisations de mise sur le marché.
Des taux de radiation d’environ 10 millisieverts par an – soit la moitié du niveau fixé par les autorités pour décréter une évacuation – ont été mesurés dans un bâtiment de la ville de Nihonmatsu, à 55 kilomètres de la centrale de Fukushima. Celui-ci a été construit avec du béton provenant des environs du site de la catastrophe nucléaire, fabriqué avec du gravier collecté seulement un mois après l’accident. Douze familles vivent dans cet immeuble achevé en juillet dernier, et parmi elles des personnes évacuées de la zone de Fukushima.
« Haditha, un massacre impuni en Irak » par Alain Gresh
La nouvelle a été réduite à quelques lignes dans Le Monde et à peine évoquée ailleurs. Le quotidien du 27 janvier écrivait : « L’arrangement judiciaire qui a permis au sergent des marines américain Frank Wuterich, accusé de la mort de 24 civils irakiens (dont 10 femmes et enfants tués à bout portant) en novembre 2005 à Haditha, d’échapper à la prison a provoqué l’écœurement en Irak. En plaidant coupable devant une cour martiale de Camp Pendleton, M. Wuterich n’encourt que la dégradation et une peine maximale de trois mois aux arrêts. Le président de la commission des droits de l’homme du Parlement irakien, Salim Al-Joubouri a dénoncé une “atteinte à la dignité des Irakiens”. [1] » Point final, aucun commentaire, aucun éditorial indigné, ni dans Le Monde, ni dans les autres médias. Le porte-parole du Quai d’Orsay, si prompt à s’émouvoir de toute violation des droits humains, est resté silencieux.