Révolutionner l’école pour permettre aux talents de chacun de s’exprimer. Créer une écologie humaine qui prenne en compte notre diversité et lui donne l’occasion d’exprimer son plein potentiel.
L’accident dramatique qui a touché Marion Larat (Voir L’Express du 14 décembre 2012 et voir aussi cet article du Monde) et dont les médias français ont beaucoup parlé ces derniers temps est un accident qui menace, depuis trente ans, des milliers de femmes en France. L’article qui suit est destiné à faire le point. Il met en question non seulement le marketing de l’industrie pharmaceutique mais aussi la compétence des médecins français.
Mais commençons par une histoire de catastrophe contraceptive qui illustrera mon propos. Elle se déroule en 1977.
Cette année-là, j’avais vingt-deux ans et j’étais étudiant hospitalier (« externe ») dans un service de psychiatrie. Je m’y suis entre autres occupé d’une femme d’une trentaine d’années ; plus exactement, je l’ai écoutée parler, car je n’avais aucune responsabilité de prescription. Son histoire est la suivante :
C’est donc la nouvelle année qui va commencer. Flon-flon et musette à chacun son planning son dessein et son programme.
En moyenne nous disent les journaux, vous savez comme ils aiment les moyenne… En moyenne, donc les français dépenseront 112 euros par personne pour cette saint Barthélémy de l’œuf de lump !
La Belgique figurait en 2011 à la neuvième place du classement européen des pays exportateurs d’armes, elle se classait en deuxième position pour les exportations d’armes légères et de petit calibre et de leurs munitions. Elle atteint par contre la deuxième place pour les exportations d’armes à feu militaire.
« Y a des fabriques et des boutiques de fusils à deux pas d’ici. La mort fait vivre nos ouvriers, l’emploi est sauf, on laisse couler. » (J. Beaucarne)
Les “Bergers de la mer” font face aux baleiniers japonais dans l’Antarctique. Les Etats anti-chasse sont pris entre deux eaux.
Les baleiniers nippons ont repris la route vers l’Antarctique ce vendredi pour leur chasse annuelle et controversée. Trois navires japonais rejoindront le navire-usine Nisshin Maru prochainement. La date exacte est gardée secrète par l’Agence de la pêche japonaise pour des raisons de sécurité. Ils trouveront sur leur chemin 4 navires, un hélicoptère, trois drones et une centaine de personnes sous les ordres de Paul Watson, grand patron de l’organisation écologiste Sea Shepherd (Le Berger de la mer), qui a promis de perturber ces opérations de chasse malgré la décision d’une cour de justice américaine l’enjoignant de ne pas s’approcher, à moins de 500 mètres, des navires japonais quand ils naviguent en pleine mer.
Au-delà des professions de foi sur le développement durable et les avantages écologiques du rail, les grands administrateurs français ne semblent aimer ni les gares ni le train.
Ils ont 3, 4 ou 10 ans et regardent le monde au travers d’un Ipad, doudou glacé qui fleure bon la « modernité ». Pour l’industrie technologique, l’enfance se pense à l’ombre des machines, innovations qualifiées de nécessaires par la bien-pensance scientiste et introduites sans recul sur le marché des marmots. Retour sur l’apparition du numérique dans l’aire du jeu et de l’apprentissage.
Il était minuit le samedi 21 juillet, quand Petros Kapetanopoulos entendit des voix dans son quartier, à Kolonos. Il venait de mettre au lit son petit enfant et dit à sa femme qu’il allait descendre pour voir ce qui se passait. En descendant il vit cinq hommes , des policiers appartiennent à une brigade spéciale « ZEUS » qui venaient d’arrêter un immigré et l’un deux avait son pied sur le ventre de celui-ci. « Pourquoi faites vous ça ? Vous l’arrêtez, la violence n’est pas nécessaire », leur a-t-il dit. Ils lui expliquèrent alors qu’ils ne piétinaient pas l’homme et, dans une démonstration de violence, le piétinèrent à nouveau avec force. « Ca, ça veut dire qu’on le piétine » lui ont-ils dit.
C’est avec beaucoup d’émotion que nous sommes entrés dans la bande de Gaza jeudi soir, accueillis avec enthousiasme dès Rafah par les journalistes, les autorités et nos amis Amir Hassan et Ayman Qwayder.
Pendant quelques heures, après l’attente au terminal de Rafah où plus d’une tonne de médicaments, ainsi que des monceaux de livres, de bonbons et de chocolats sont passés par les contrôles électroniques, ce fut l’ovation à l’appel de chacun des 100 noms auquel un passeport dûment tamponné d’un visa d’entrée pour Gaza était remis.