« L’un des grands arguments de la guerre israélienne de l’information consiste à demander pourquoi le monde entier s’émeut davantage du sort des Palestiniens que de celui des Tchétchènes ou des Algériens – insinuant par-là que la raison en serait un fonds incurable d’antisémitisme. Au-delà de ce qu’il y a d’odieux dans cette manière de nous ordonner de regarder ailleurs, on peut assez facilement répondre à cette question. On s’en émeut davantage (et ce n’est qu’un supplément d’indignation très relatif, d’ailleurs) parce que, avant que les Etats-Unis n’envahissent l’Irak, c’était le dernier conflit colonial de la planète – même si ce colonisateur-là a pour caractéristique particulière d’avoir sa métropole à un jet de pierre des territoires occupés -, et qu’il y a quelque chose d’insupportable dans le fait de voir des êtres humains subir encore l’arrogance coloniale. Parce que la Palestine est le front principal de cette guerre que l’Occident désoeuvré a choisi de déclarer au monde musulman pour ne pas s’ennuyer quand les Rouges n’ont plus voulu jouer. Parce que l’impunité dont jouit depuis des décennies l’occupant israélien, l’instrumentalisation du génocide pour oblitérer inexorablement les spoliations et les injustices subies par les Palestiniens, l’impression persistante qu’ils en sont victimes en tant qu’Arabes, nourrit un sentiment minant d’injustice. »
par Inca Cgil – Observatoire des politiques sociales en Europe
Entre 2010 et 2013, 5913 ressortissants d’un état membre de l’Union européenne ont reçu un ordre de quitter le territoire du Royaume. Rien qu’en 2013, l’Office belge des étrangers a mis fin au séjour de 2712 Européens. Un chiffre à la hausse par rapport à l’année qui précède et qui laisse présager une même tendance pour 2014.
Le samedi 14 juin prochain, de 11h à 18h, la Ville de Liège accueillera la Fête de la Transition et de l’Économie Collaborative sur la place Saint-Etienne.
Cette journée sera l’occasion pour un large public de découvrir les germes d’une économie différente, basée sur la coopération plutôt que la compétition, et sur les notions d’usage et de partage plutôt que de propriété. L’économie collaborative touche à tous les domaines de la vie quotidienne : l’alimentation, la mobilité, l’énergie, la finance…
rencontre avec Edith Wustefeld & Johan Verhoeven autour de leur enquête de terrain sur les initiatives autogérées en espagne et en Amérique latine.
Soirée de présentation du projet Construire l’utopie, un projet journalistique à la recherche d’alternatives collectives avec l’autogestion comme fil rouge.
Avant de vous faire voir venez vous faire entendre
En collaboration avec le Centre de recherche en Information, Droit et Société de l’Université de Namur (CRIDS), Barricade vous propose de réagir au projet PTZ-Pilot, dont l’objectif est de développer des moyens techniques permettant « le pilotage automatique de caméras motorisées pour l’observation détaillée de personnes ou de scènes ».
L’action de la Confédération Paysanne à la ferme-usine des Mille vaches a conduit le gouvernement à incarcérer durant deux jours le porte-parole de ce syndicat. Mais l’Etat ne s’est pas montré aussi sévère pour les actes violents commis par l’autre syndicat agricole, favorable au développement de l’agro-industrie.
Dans le but de permettre à chacun d’avoir accès à une alimentation saine et équilibrée, de consommer des produits frais, locaux, de qualité et bon marché,mais aussi de promouvoir la cohésion sociale, le CPAS de BASSENGE vous propose de mettre en place deux projets :
Un GAC, Groupe d’Achats Communs
et
Un potager communautaire
Ces projets vous intéressent ?
Vous souhaitez rejoindre notre groupe ou jardiner en notre compagnie ?
N’hésitez pas à nous contacter
Personne de référence : Charlotte Flagothier
04/259 88 10
charlotte.flagothier@bassenge.be
Si vous n’avez pas les moyens de participer de manière active à ces projets mais que vous êtes désireux de contribuer au développement de ceux-ci, nous organisons d’ores et déjà une récolte d’outils de jardinage et de semences.
Des logos Adidas et Coca-Cola partout, des milliards dépensés pour des stades qui resteront vides — plutôt que pour les enfants des favelas, des droits télés aux tarifs ébouriffants… Depuis quand, le foot et son Mondial servent à ça, de sac à pubs ? Dans Comment ils nous ont volé le football, Fakir Éditions répond : depuis les années 70. Depuis l’arrivée de Joao Havelange à la tête de la Fifa, lui qui fut, pour la libéralisation du ballon rond, l’équivalent d’une Thatcher ou d’un Reagan…
Les années 80 : Le veau d’or de la télé – Une autre histoire du mondial (3)
C’est la décennie folle, de l’argent-roi, où toute la société bascule dans le culte du profit. Le football se tape le même délire, avec ses droits télés faramineux, ses présidents escrocs, ses transferts indécents. On s’est habitués à tout ça, depuis.
Vingt-cinq ans après le massacre de la place Tian’anmen, le gouvernement chinois continue de persécuter les survivants et les membres de leurs familles qui demandent justice