Le plus grand crime depuis la deuxième guerre mondiale a été la politique étrangère des Etats-Unis.
(Ramsey Clark – Ministre de la Justice des Etats-Unis sous la présidence de Lyndon Johnson)
« La démocratie et les droits de l’homme ne nous intéressent que très peu. Nous utilisons simplement ces mots pour cacher nos véritables motifs. Si la démocratie et les droits de l’homme nous importaient, nos ennemis seraient l’Indonésie, la Turquie, le Pérou ou la Colombie, par exemple. Parce que la situation à Cuba, comparée à celle de ces pays-là et de la plupart des pays du monde, est paradisiaque »
(Wayne Smith, ancien chef de la Section des Intérêts Américains à La Havane (SINA) sous l’administration Reagan)
Les pilotes d’Air France gagnent bien leur vie, et même très bien ! Et alors ? Qui peut accuser une quelconque catégorie professionnelle de défendre ses intérêts, ses acquis ? Le scandale n’est pas le haut niveau de rémunération des pilotes mais le faible niveau des autres catégories professionnelles en galère.
Ils ont entre 10 et 15 ans, et sont entraînés à tirer avec des fusils dans une base militaire israélienne dans le Neguev, selon un reportage de TV Channel 1.
Les barbares qui sèment la terreur en Irak et en Syrie sous le sigle EIIL ne sont pas si barbares que cela pour plusieurs pays membres de l’Union européenne.
Nous publions, avec l’autorisation de son auteur et des éditions Libertalia (que nous remercions au passage), un extrait du récent livre de Sébastien Fontenelle, Éditocrates sous perfusion : les aides publiques à la presse, trente ans de gabegie. Cet ouvrage au vitriol, que l’on ne peut que recommander à nos lecteurs, s’attaque à une certaine presse qui, « dans le même temps qu’elle ensevelit l’État sous une avalanche d’exhortations à mieux maîtriser ses dépenses, […] se gave de subventions étatiques ».
Né en 1925 dans une roulotte, Raymond Gurême est un ancien résistant qui a connu les camps allemands. Le 4 octobre 1940, alors qu’il n’a que 15 ans, des gendarmes viennent arrêter toute sa famille. Ils sont d’abord parqués dans une usine à Darnétal près de Rouen puis transférés à Sotteville-les-Rouen avant d’être conduits dans des wagons à bestiaux jusqu’à Brétigny en région parisienne. « Ça le mettait en colère mon père de se voir prisonnier sur le sol Français, arrêté et gardé par des Français, lui qui avait fait la guerre de 1914 et avait même été gazé. Quand il disait aux gardiens qu’il était Français, ils ne savaient pas quoi dire et se débinaient. » Il s’évade la première fois alors qu’il n’a que 15 ans et se fait reprendre rapidement, dénoncé par le maire de la commune à qui il avait demandé de l’aide. Arrêté plusieurs fois, déporté en Allemagne, il participera finalement à la libération de Paris.