Dans le contexte actuel où les attentats terroristes bouleversent la vie des peuples des deux côtés de la Méditerranée, les analyses de Georges Corm, historien libanais, sont une bouffée d’oxygène pour résister à la théorie du « choc des civilisations ». Son dernier ouvrage, « Pensée et Politique dans le Monde Arabe », comble les lacunes de notre mémoire historique et constitue un puissant antidote au pessimisme ambiant. Dans cette interview accordée en exclusivité à Investig’Action, Georges Corm décortique également les motivations des départs de jeunes européens en Syrie, et dénonce l’hypocrisie de la gestion des réfugiés et les relations des pays occidentaux avec l’Arabie Saoudite.
Sur fond de crise économique persistante dans la plupart des pays occidentaux, l’émergence de nouvelles forces contestataires témoigne d’une grande impatience politique. Elle se transforme souvent en colère. La gauche gouvernementale constitue dorénavant une de ses cibles principales.
C’est une liste digne du musée des horreurs mais il s’agit bien d’aliments qui étaient destinés à la consommation : 10.000 tonnes d’aliments frelatés ainsi qu’un million de litres de boissons dangereuses ont été saisis par INTERPOL et Europol dans 57 pays.
Construit en 1976, le Khalifa International Stadium, haut lieu sportif du Qatar, est en cours de rénovation pour doubler sa capacité et accueillir les 40 000 spectateurs qui voudront assister aux matches de la Coupe du monde de foot de 2022.
Le 31 mars, nombreux — espérons-le — sont ceux qui en France vont marcher contre la nouvelle Loi travail. Pourtant, dans la situation de déliquescence où nous nous trouvons aujourd’hui, le problème n’est plus la Loi travail ou toutes les saloperies à l’identique qu’on nous sort en rafales. Mais les prédateurs qui les promulguent.
L’ennemi public numéro 1 est sous les verrous. Ouf, on a pu enfin respirer ! Toutes les polices d’Europe qui étaient à ses trousses pendant quatre mois devraient pouvoir souffler. Pas trop longtemps cependant afin d’éviter que notre angoisse ne retombe dare-dare. Vite, que l’on désigne un nouvel ennemi public majuscule à pourchasser. Nous sommes maintenant en effet dans l’attente impatiente de la fabrication d’un autre cerveau de la trempe de Salah Abdeslam. Oui, c’est bien de lui dont il s’agit. Vous l’aviez compris.
Après Alès et Le Vigan, ces images tournées à l’abattoir de Mauléon-Licharre dans les Pyrénées-Atlantiques montrent de nouveau l’extrême violence de la mise à mort des animaux.
« Dignité, respect, étourdissement, contrôle, bio » : les discours se veulent rassurants. La réalité est toute autre.
Dans cet abattoir, on arrache la vie à des agneaux de lait et des veaux terrorisés. Animaux frappés, mal ou pas étourdis, conscients au moment de la saignée, découpés à vif : une réalité insoutenable.
La viande ne représente aucune nécessité et pourtant des millions d’animaux agonisent derrière les murs des abattoirs. Ne fermons plus les yeux et agissons.
La toute première “conférence anti-BDS” organisée en Israël a rassemblé des politiciens de toutes les formations politiques du parlement, venus étaler leur engagement dans la lutte contre les boycotts. Et ce faisant, ils ont tout juste réussi à démontrer à quel point le mouvement de boycott est efficace…