par Gérard Charollois
J’ai trop écrit sur le loisir de mort sans répugner à m’interroger sur ce qui détermine des humains, mes semblables en apparence, à jouir de traquer, mutiler, tuer des êtres sensibles. L’actualité m’y contraint. Faire de la mort d’un animal une récréation va à l’encontre de ce que je ressens, à savoir que la dignité humaine tient à la capacité d’empathie.
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