Une opinion de Baudouin De Rycke, ex-enseignant et auteur.
Comme la plupart d’entre nous, je contemple aujourd’hui avec effroi les ravages du temps sur notre pauvre monde depuis un demi siècle : coronavirus, dérèglement climatique, augmentation significative de la violence, consommation exponentielle des psychotropes… : la nuit n’en finit plus, dirait Petula Clark.
Étiquettes : amour, consommation, matérialisme, société, temps
Votre commentaire