Un élément de réponse peut-être : « «Il faut voir tous les sacrifices, l’abnégation, la chance et le talent qu’il faut pour en arriver là, a déclaré le champion du monde 98 Robert Pirès à Reporterre. Dès l’enfance, on est aspirés dans une course où seuls les meilleurs parviennent à décrocher ne serait-ce qu’un contrat professionnel. Nos carrières sont courtes et on est très peu, en réalité, à bien gagner notre vie. Alors disputer une Coupe du monde, ça reste un privilège sur lequel on ne peut pas cracher.»
https://reporterre.net/Coupe-du-monde-2022-la-contestation-s-etend-parmi-les-footballeurs
N’aurait-il pas fallu protester lors qu choix initial du Qatar, là c’est un peu tard, non ?