Il est très difficile de faire comprendre, en Belgique, aux étudiants d’aujourd’hui, l’enthousiasme qui a poussé, il y a cent ans, d’autres jeunes à participer – pour certains volontairement – à la Première Guerre mondiale. La rivalité entre les puissances européennes de l’époque leur semble incompréhensible.
Il est curieux que la France, et en particulier cette mairie du 16me arrondissement, accueille le 31 mai prochain une conférence concernant la politique israélienne en Afrique.
Mais rien ne nous étonne de la part de la France dont les ministres, leur président et certains parlementaires confondent antisionisme avec antisémitisme et pour ce faire s’alignent sur la définition donnée par l’alliance internationale pour la mémoire de l’holocauste (IHRA), digne d’un dictionnaire fait pour les nuls par des nuls.
Depuis l’annonce de problèmes de corrosion sur certains réacteurs, EDF affirme avoir été prise au dépourvu par ce phénomène présenté comme « inédit ». Il a en réalité déjà touché à plusieurs reprises l’entreprise française depuis 40 ans.
Confrontée à l’envol des prix alimentaires, l’Europe veut produire plus. Pourtant, intensifier encore l’agriculture va aggraver le mal, selon des ONG, qui préconisent l’agroécologie.
« Fin mars, la Commission européenne présentait son lot de mesures« pour soutenir la production agricole » : mise en culture des jachères — avec possibilité d’y asperger des pesticides — aides aux agriculteurs pour se fournir en engrais et report des objectifs européens de réduction de pesticides et d’augmentation des surfaces bio.
Autant de « solutions court-termistes qui vont mettre in fine en péril la sécurité alimentaire mondiale, tout en précipitant l’effondrement de la biodiversité et le dérèglement climatique », ont dénoncé, le 31 mai, six ONG internationales, dont le CCFD-Terre solidaire, Greenpeace ou Action contre la faim. »
« Il suffirait qu’un tiers des céréales produites pour nourrir les animaux soient “réaffecté” pour l’alimentation humaine afin de compenser la baisse des exportations ukrainiennes. »
Le comité législatif ministériel israélien a approuvé dimanche le fait de laisser les membres de la coalition voter sur un projet de loi qui interdirait « l’agitation du drapeau d’un pays ennemi ou de l’Autorité palestinienne, dans les institutions soutenues par l’État », y compris les universités.
Alors que la crise mondiale des prix et de l’accès à la nourriture devient de plus en plus menaçante, plusieurs analyses tentent d’expliquer cet enjeu comme étant une conséquence de la guerre en Ukraine. S’agit-il réellement de la seule explication à cette crise ?
« De la nourriture en abondance, mais de plus en plus de gens affamés. Des prix des denrées alimentaires qui s’envolent, tandis que d’aucuns réalisent des profits faramineux. Quelques-uns qui empochent des milliards de bénéfices, tandis que des milliards de personnes peinent à joindre les deux bouts. Rien n’illustre aussi clairement l’absurdité et la cruauté de cette crise systémique que la crise alimentaire. »
Aux Pays-Bas, une seule pilule du médicament contre le cancer Revlimid coûte 90 centimes, contre 255 euros dans notre pays. « Le contraste avec les Pays-Bas est énorme, réagit Sofie Merckx, cheffe de groupe PTB et médecin généraliste. Alors qu’aux Pays-Bas, le prix a récemment baissé de 99 %, notre assurance maladie doit dépenser des millions parce que ce médicament fait toujours l’objet d’un contrat secret. » Le PTB souhaite donc que le ministre de la Santé Frank Vandenbroucke annule le contrat secret concernant le Revlimid, et organise un appel d’offres public afin de baisser son prix dans notre pays également.
La semaine dernière, le gouvernement wallon a annoncé dans le cadre de son ajustement budgétaire la mise en place d’une économie de 40 millions d’euros via « la maîtrise des dépenses de fonctionnement » des services publics wallons. « En fait, le gouvernement wallon (PS-MR-Ecolo) va encore faire payer les citoyens en s’attaquant aux services publics alors que nous aurions pu trouver une grande partie de cet argent autrement, comme par exemple dans les privilèges des politiques », explique Germain Mugemangango, chef de groupe PTB au Parlement wallon. « Avec le PTB, nous avons fait le travail pour le gouvernement et avons trouvé 75 % de la somme sans même toucher aux services publics. »
Voici une phrase du président des chasseurs durant une interview récente sur RMC :
« Tu penses qu’on est là pour réguler ? Mais t’as pas compris que, pour nous, c’est une passion ? T’as pas compris qu’on prend du plaisir dans l’acte de chasse ? Tu crois qu’on va devenir les petites mains de la régulation ? Mon métier, ce n’est pas d’être chasseur. J’en ai rien à foutre de réguler… »