Par Moon of Alabama
« Les sanctions doivent avoir plus d’impact du côté russe que du côté européen, on n’est pas en guerre avec nous-mêmes », déclarait Alexander De Croo, le Premier ministre belge, en mars dernier. Quelques mois plus tard, difficile de tresser des lauriers à ces braves dirigeants européens. Ils diront bien sûr que tout cela est de la faute de l’invasion russe. Cette guerre aurait pourtant pu être évitée en faisant appliquer les accords de Minsk et en acceptant de discuter avec Moscou. Mais les États-Unis ont tout fait pour que la guerre éclate et s’y préparaient depuis longtemps sans hésiter à sacrifier leurs alliés du Vieux Continent. Avec des amis pareils, pas besoin d’ennemis. Reste à savoir si après s’être tiré des rafales dans le pied, l’Union européenne entend pointer le fusil vers sa tempe ou se ressaisir… (IGA)
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« Mme Andersson a fustigé « la guerre énergétique de la Russie » qui « a de graves conséquences pour l’Europe, les ménages et les entreprises suédois, en particulier dans le sud de la Suède, qui dépend des prix de l’électricité en Allemagne, elle-même très dépendante du gaz« . »
Mais enfin, croyait-on vraiment que la Russie allait rester sans réagir devant les sanctions ?