Par Jim Naureckas
Si vous travaillez pour un média de l’establishment qui couvre un ennemi officiel des États-Unis, votre principale tâche consiste à faire comprendre à votre public que ces pays sont des dystopies, où tout le monde est malheureux et où les sanctions économiques imposées par Washington ne peuvent pas créer de souffrances dans la population ni provoquer d’exode.
Le problème, c’est que nombre de ces ennemis sont des pays tropicaux qui bénéficient souvent d’un temps ensoleillé et d’une végétation luxuriante. Si vous diffusez une photo réaliste de ces pays, les gens pourraient penser que la situation n’y est pas si mauvaise et pourraient même commencer à se demander si l’enfer décrit dans votre texte est tout à fait exact.
C’est pourquoi les grands médias ont trouvé une astuce simple : si vous voulez que les gens pensent qu’un pays qui résiste à l’autorité des États-Unis est un paysage sinistre, il suffit de sous-exposer vos photos.
La suite sur : https://venezuelainfos.wordpress.com/2023/06/05/venezuela-une-sous-exposition-mise-en-lumiere-fair-org/