Des parlementaires des divers partis se sont prononcés plus ou moins clairement en faveur du maintien de guichets physiques. Sans surprise, les plus proches des multinationales et des GAFAM sont les plus timorés, et ceux qui se veulent les plus proches de la population et des démunis sont les plus engagés.
Ce mardi 6 décembre, Saint-Nicolas était à la place de l’Albertine avec le Gang des Vieux en Colère et avec des centaines et des centaines de manifestants.
« O grand Saint-Nicolas, patron des usagers,
‘Faut des guichets humains pour tous nos potes âgés,
Nous n’ s’rons plus jamais sages comme des petits moutons,
Nous crierons not’ colère dans toute la Région.
Venez venez Saint-Nicolas etc. »
Surfer (rapidement) sur le web dépend de milliers de kilomètres de câbles qui tapissent les fonds océaniques et maritimes de la planète. 70 kg (!) de matières premières sont nécessaires pour produire… un smartphone. Les exemples ne manquent malheureusement pas pour (dé)montrer la (sur)consommation énergétique qu’impliquent nos vies (hyper)connectées.
La Belgique est le pays le plus dépensier d’Europe en matière de publicités politiques sur Facebook. Petit territoire, mais gros moyens : nos partis financent l’entreprise de Zuckerberg à coups d’argent public. La propagande envahit les réseaux, les écrans et les cerveaux. Décryptage.
Une carte blanche de Judith Dereau Psychiatre infanto-juvénile, Clinique La Ramée, Epsylon.
Une patiente m’a alertée récemment : les professionnels n’ont aucune idée de ce qu’il se passe sur les réseaux sociaux pour les adolescents. Est-ce que les parents en ont une, alors que 40% des utilisateurs d’Instagram ont moins de 22 ans et que 70% des ados et des jeunes adultes, par ennui ou facilité, passent trop de temps, matin et soir, à scroller ?
Le trop-plein d’écrans sur les enfants a des conséquences catastrophiques. Et pourtant, l’État investit massivement dans le numérique à l’école, dénonce notre chroniqueuse.
Le défi climatique, c’est aussi un défi pour le secteur des technologies numériques qui représentent aujourd’hui 10 % à 15 % de la consommation mondiale d’électricité. Agir pour limiter son empreinte carbone suppose donc de s’interroger sur ses propres usages, alors que nous sommes poussés vers un tout numérique dans un nombre croissant d’activités. Et pour ses acteurs, il s’agit de remettre en question certaines stratégies dont le coût environnemental est exempt de bénéfice sociétal.
« Le fournisseur d’énergie Sibelga estime qu’à l’échelle de la Belgique, les usages d’Internet représentent 176 000 tonnes de CO2 par an. À titre de comparaison, chaque Belge en émet entre 12 et 16 tonnes par an, tous usages confondus, soit l’équivalent de douze à seize allers-retours de Bruxelles à New York en avion. »
Les multinationales du numérique, les Gafam, prennent toujours plus de place dans l’éducation, mettant la main sur les données personnelles des élèves et de leurs parents. Des alternatives émergent, s’appuyant sur les logiciels libres.
Les géants des médias sociaux « purgent » les journalistes palestiniens qui rapportent les crimes de guerre israéliens Des géants des médias sociaux comme Twitter, Meta et TikTok ont été accusés de supprimer des contenus qui montrent leur soutien à la cause palestinienne. La suite sur : https://europalestine.com/2022/09/15/la-censure-des-reseaux-sociaux-envers-la-palestine/
Une carte blanche de Luc de Brabandere, philosophe d’entreprise (1)
Google est aujourd’hui une des entreprises les plus riches du monde, or personne d’entre nous n’a jamais payé une facture pour avoir utilisé ses services. Mais d’où vient alors tout leur argent ?