Le cochon de Bretagne : les dessous de l’élevage intensif.
Dans cet élevage porcin des Côtes-d’Armor fournissant Le Cochon de Bretagne, les animaux ne sont ni « bien né[s]» ni « bien élevé[s] », contrairement à ce qu’affirme le slogan de la marque ! En effet, à l’EARL de la Ville És Plès, certains abreuvoirs sont vides : les animaux sont ainsi privés d’un accès permanent à l’eau, comme l’oblige pourtant la réglementation. Des truies sont laissées sans soins alors qu’elles sont gravement blessées, des porcelets agonisent tandis que d’autres sont déjà morts, des cadavres de plusieurs jours gisent au milieu des vivants.
Des parlementaires des divers partis se sont prononcés plus ou moins clairement en faveur du maintien de guichets physiques. Sans surprise, les plus proches des multinationales et des GAFAM sont les plus timorés, et ceux qui se veulent les plus proches de la population et des démunis sont les plus engagés.
En cette fin d’année, en arrière-plan des sujets brûlants comme l’inflation, le climat ou la guerre en Ukraine, se joue une question récurrente : celle de l’usage des pesticides. Elle touche à l’alimentation, la santé, l’agriculture et l’environnement. Alors qu’il est question de légiférer ou de restreindre l’usage des pesticides, les lobbies de l’agriculture industrielle brandissent la nécessité de « nourrir le monde » et agitent le spectre de la « famine dans les pays les plus sensibles ». Nous ne sommes pas dupes. Leur objectif est clair : profiter des crises pour faire reculer le peu de contrainte existante, maintenir un statu quo qui leur est bénéfique, quitte à saborder la barque dans laquelle nous sommes tous.
Les entreprises agrochimiques et semencières veulent imposer de nouveaux organismes génétiquement modifiés (OGM) sur le marché, en dehors de tout étiquetage et de tout contrôle de leur impact sur la santé et l’environnement, forçant ainsi les aliments génétiquement modifiés à se retrouver dans nos champs et nos assiettes sans que nous ne le sachions.
La Belgique a signé en 2005 le Protocole facultatif de la Convention des Nations Unies contre la Torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants (OPCAT).
Elle s’est alors engagée à le ratifier, ce qui n’a toujours pas été fait à ce jour.
En juillet 2018, un projet de loi portant assentiment à l’OPCAT a été adopté mais en octobre 2022, cette loi dûment votée par le Parlement n’a toujours pas été publiée au Moniteur belge.
Il faut qu’il soit immédiatement remis en liberté et que la décision de lui retirer sa carte d’identité jérusalémite, fondée sur des preuves déclarées secrètes, soit annulée.
« En outre, bien que Salah Hamouri soit détenteur de la nationalité française, le gouvernement français n’a joué aucun rôle actif pour exercer des pressions en vue de sa libération, en dépit de sa détention coercitive. »