Une carte blanche de Pascal Warnier, économiste, diplômé en sciences de l’éducation.
La sévérité des mesures sanitaires dans les structures de soins confronte les familles des patients les plus vulnérables et de longue durée à des conditions humainement éprouvantes. Nous en avons été les témoins ces dernières semaines…
Selon une étude de The Lancet Planetary Health publiée le 20 janvier, 7% de la mortalité à Paris sont liés à une trop forte pollution de l’air au dioxyde d’azote (NO2). Cela représente 2.575 morts prématurés par an.
Réduire la pollution de l’air aux niveaux recommandés par l’OMS pourrait permettre d’éviter plus de 50.000 morts par an en Europe, selon une étude publiée mercredi dans le Lancet Planetary Health journal.
L’Organisation mondiale de la santé estime que la pollution de l’air tue plus de sept millions de personnes par an dans le monde et provoque aussi maladies et absentéisme au travail.
Pour freiner les méfaits du virus, il est essentiel de prendre en charge les patients à temps et de les traiter le plus vite possible: il faut soutenir la médecine de première ligne, plaide le docteur Martin Zizi, biophysicien, professeur de physiologie, ancien Directeur épidémiologiste du Département de la Défense.
Le Conseil d’Etat a annulé, dans un arrêt rendu en début de semaine, l’arrêté du gouvernement wallon du 30 mars 2017 interdisant l’utilisation de produits phytopharmaceutiques contenant du glyphosate sans que cette décision n’ait toutefois de conséquence pratique puisque la vente de glyphosate aux particuliers a, depuis, été interdite par le fédéral, a indiqué l’organisation environnementale Greenpeace.
» Une autopsie sera notamment réalisée. », mais on sait déjà avant que le vaccin n’y serait pour rien : » je pense qu’il est peu probable que ce soit le cas. »
Où étaient-ils donc, tous ces médecins ? Où était donc leur serment d’Hippocrate ? Ça faisait plusieurs mois qu’ils acceptaient sans broncher les injonctions insupportables d’autorités insupportables qui leur interdisaient de prescrire certains médicaments. Qui leur intimaient silence, obéissance et les menaçaient de sanctions.