« En attendant, il est permis de penser qu’il y a quelque indécence à célébrer ainsi une découverte, qui se met d’abord au service de la plus formidable rage de destruction dont l’homme ait fait preuve depuis des siècles. Que dans un monde livré à tous les déchirements de la violence, incapable d’aucun contrôle, indifférent à la justice et au simple bonheur des hommes, la science se consacre au meurtre organisé, personne sans doute, à moins d’idéalisme impénitent, ne songera à s’en étonne » (Albert Camus – http://pm22100.net/docs/pdf/textes/121105_CAMUS_APRES_HIROSHIMA_NAGASAKI.pdf )
Chassepierre, un petit village de l’entité de Florenville, porte fièrement le titre ‘d’un des plus beaux villages de Wallonie’. Lové dans les méandres de la Semois, les maisons de vieilles pierres en ont fait un véritable écrin très apprécié des touristes qui s’aventurent dans ce coin de Gaume.
La réforme des normes encadrant le secteur éolien est arrivée sur la table du gouvernement wallon. Cette réforme fait encore l’objet de divergences de vues entre les partenaires de la majorité.
La prison de Lantin a été le théâtre d’une histoire surprenante en juin dernier. Alors qu’elle devait donner naissance à son bébé, une détenue a été contrainte de garder ses menottes durant l’accouchement.
En septembre 2021, la publication des données rassemblées par l’Institut wallon de l’évaluation, de la prospective et de la statistique (Iweps) a objectivé une douloureuse réalité. Scrutant seize années d’évolution socioéconomique – de 2004 à 2020 –, l’indice de situation sociale de la Wallonie (ISS) dévoile combien la richesse produite est loin de profiter à la situation socioéconomique des Wallonnes et Wallons.
La semaine dernière, le gouvernement wallon a annoncé dans le cadre de son ajustement budgétaire la mise en place d’une économie de 40 millions d’euros via « la maîtrise des dépenses de fonctionnement » des services publics wallons. « En fait, le gouvernement wallon (PS-MR-Ecolo) va encore faire payer les citoyens en s’attaquant aux services publics alors que nous aurions pu trouver une grande partie de cet argent autrement, comme par exemple dans les privilèges des politiques », explique Germain Mugemangango, chef de groupe PTB au Parlement wallon. « Avec le PTB, nous avons fait le travail pour le gouvernement et avons trouvé 75 % de la somme sans même toucher aux services publics. »