L’année dernière, la France était condamnée par la Cour Européenne des Droits de l’Homme pour avoir enfermé pendant 11 jours une mère et son bébé de 4 mois au centre de rétention du Mesnil Amelot et leur avoir infligé un traitement inhumain et dégradant.
Et ? RIEN, le régime occupant israélien n’a pas à s’inquiéter, tous nos gouvernements Ponce-Pilate s’en lavent les mains., quant à l’ONU …. HONTE à eux !
Lorsque de jeunes palestiniens, en majorité des adolescents, se battent pour protéger leurs maisons et leurs terres, l’armée israélienne répond en les frappant, en leur lançant des grenades assourdissantes et des gaz lacrymogènes. Ce n’est rien d’autre qu’une attaque en règle.
« La majorité des enfants palestiniens pris pour cible par les forces d’occupation israéliennes sont de jeunes hommes », déclare Ayed Abu Eqtaish, directeur du programme de responsabilité de Defense for Children International – Palestine (DCIP).
Selon un rapport de DCIP, 15 enfants palestiniens ont été tués par les forces d’occupation depuis le début de l’année.
A Jérusalem, comme à Bethléem, arrestation cette semaine de deux enfants palestiniens par l’armée d’occupation israélienne. Le terrorisme d’Etat dans toute sa splendeur
Une opinion De Fanny Charpentier, thérapeute énergétique.
Si nous les sacrifions au nom du maintien d’un contrat social qui n’a plus aucun sens, nous aurons perdu au final et nos enfants, et nos démocraties. Alors, de grâce, la prochaine fois qu’un enfant fait un “caprice”, arrêtez-vous.
Des étudiants en train de défiler, lors de la remise de leurs diplômes, avec la photo de Shirine, la journaliste assassinée par Israël. Cela se passe cette semaine, dans la célèbre université Georgetown à Washington DC, et en présence du secrétaire d’Etat américain Anthony Blinken !
Où sont passés les enfants ? Dans les rues de nos villes, combien en croise-t-on, cartables sur le dos, et rentrant de l’école ? Combien sont-ils à avoir l’autorisation parentale de jouer dans la rue ? De faire quelques courses dans un magasin proche de leur domicile ? Bien peu. Et même, de moins en moins. Clément Rivière, maître de conférences en sociologie à l’université de Lille, s’est penché sur la façon dont les parents du début du 21ème siècle encadrent les pratiques de leurs enfants dans l’espace public. Récemment publié aux Presses universitaires de Lyon, son travail met en lumière les mécanismes à l’œuvre dans la fabrication des « enfants d’intérieur ». De quoi donner à réfléchir aux urbanistes et plus largement, à tous ceux qui travaillent à la conception et à l’aménagement d’espaces publics pour tous.
Le Fonds des Nations unies pour l’enfance constate également une hausse du nombre de cas de malnutrition sévère dans de nombreuses régions de la planète et notamment dans la Corne de l’Afrique. Cette situation est notamment engendrée par la sécheresse persistante, la guerre en Ukraine et les conséquences de la pandémie de coronavirus.