Des dispositifs de surveillance ont été découverts près du lieu habituel de réunion des opposants aux mégabassines, dans les Deux-Sèvres. Les appareils ont été installés par la police.
La firme israélienne NSO, specialisée dans l’espionnage, ne vend pas seulement ses technologies PEGASUS à toutes les dictatures, mais sert également la police israélienne accusée d’écouter, sans la moindre intervention judiciaire, un nombre apparemment important de ses citoyens : militants, journalistes, hommes d’affaires, fonctionnaires…
Cette révélation faite par le journal financier israélien Calcalist contredit une déclaration faite en 2019 par le co-président de l’époque de NSO, Tami Mazel Shachar, qui avait déclaré que NSO ne surveillerait pas les téléphones israéliens.
« PayPal collabore avec l’Anti-Defamation League, un important groupe de pression israélien, pour enquêter sur la manière dont les « mouvements extrémistes et haineux » collectent des fonds.
Et avec les efforts de grande envergure de ce groupe de pression pour étiqueter le soutien aux droits des Palestiniens comme une forme de fanatisme anti-juif, cela pourrait être un autre moyen pour le secteur privé de censurer et d’entraver les militants antiracistes afin de protéger Israël.
Des militants des droits humains, des journalistes et des opposants du monde entier ont été espionnés grâce à un logiciel mis au point par une société israélienne, selon une enquête publiée dimanche dans plusieurs médias.
« Je suis heureuse que les Américains aient clairement indiqué qu’ils avaient changé leurs pratiques en 2014 pour ce qui est de la surveillance d’alliés et qu’ils veuillent coopérer avec nous et d’autres pour cartographier ce qui s’est produit », a déclaré la Première ministre norvégienne, Erna Solberg, citée jeudi par l’agence de presse NTB.
La CIA et les services de renseignement allemands ne contrôlaient pas une seule entreprise suisse spécialisée dans le chiffrement, mais deux, pour espionner plus facilement, a révélé la télévision publique, poussant des élus à demander une enquête.
Ce jeudi, The Guardian a révélé des documents internes à Monsanto. Ceux-ci prouvent l’existence d’un service spécial dédié à l’espionnage et à l’attaque de personnalités influentes se positionnant contre le glyphosate.
Sous couvert d’empêcher des attentats, les alliés les plus proches de la France dans la lutte antiterroriste – États-Unis et Israël en tête – détournent certaines mesures de sécurité dans les aéroports pour se livrer à de l’espionnage notamment industriel. Mediapart, dans un article intitulé « L’aéroport, ce nid d’espions », révèle cette guerre secrète qui se livre entre autres dans les salles d’embarquement.