Sept journalistes palestiniens emprisonnés par l’Autorité Palestinienne viennent d’entamer une grève de la faim pour dénoncer la loi sur les « Cyber crimes », adoptée le mois dernier par Mahmoud Abbas.
L’historien Hamit Bozarslan décrit la Turquie comme un pays livré à l’arbitraire de son «reis», malgré la résistance des Kurdes. Il dénonce la capitulation de la démocratie européenne.
Nuriye Gülmen et Semih Özakça sont en grève de la faim depuis 104 jours. Pour le journaliste belge d’origine turque Bahar Kimyongür, ils incarnent la résistance à Erdogan.
Nous relayons cette pétition, qui s’adresse à deux organismes internationaux qui se taisent honteusement face au sort des prisonniers politiques palestiniens en grève de la faim.
Au 35ème jour de grève de la faim des prisonniers politiques palestiniens, sans la moindre perspective de négociation, la liste de villes appelant à jeûner collectivement, en place publique ce jeudi 25 mai ne cesse de s’allonger.
Alors que la grève de la faim pour la Liberté et la Dignité des prisonniers politiques palestiniens entre dans son 31ème jour, et que leur état de santé devient critique, Israel vient de procéder à leur transfert dans 3 prisons qui disposent d’un hôpital pénitentiaire, mis en place au début le la grève de la faim.
Il décrit à a fois les mesures sadiques à son encontre et sa détermination à poursuivre la grève de la faim. Il nous appelle à amplifier le soutien aux prisonniers en lutte.
La non intervention de nos gouvernants face au massacre à petit feu d’hommes qui ne réclament que le respect des droits fondamentaux reconnus à tous les prisonniers du monde, est un scandale ! C’est à cause de leur silence qu’Israel peut se permettre de refuser d’ouvrir des négociations sur les revendications de base des prisonniers palestiniens. Il faut amplifier la mobilisation : dénonçons les candidats aux législatives qui affichent leur mépris des droits de l’homme et du droit international, en pratiquant l’omertà face aux crimes de guerre israéliens.