Chaque hiver, Natagora invite les particuliers à compter les oiseaux qui visitent leur jardin. Le grand nombre de données récoltées aide ensuite nos spécialistes à mieux comprendre les phénomènes particuliers qui touchent les espèces les plus communes. Alors, sortez vos jumelles et devinez qui vient manger au jardin !
« J’apportais aux voisins des légumes bio pour cuisiner le tiep, ça va me manquer. » Avec d’autres, Zaza lutte pour sauver les jardins familiaux de Fleury-Mérogis. Car dans les quartiers populaires, l’artificialisation des rares espaces naturels se poursuit inexorablement.
Vécu comme une tâche ingrate et qui exige du temps et des efforts physiques, le ramassage de feuilles mortes fait débat. Pourquoi devrait-on en effet ramasser toutes ces feuilles accumulées dans les jardins et les espaces publics ? « Nous ne nous rendons pas compte que nous réalisons des efforts monstres pour éliminer de la nature l’une des matières premières les plus précieuses « , avance le consultant en jardin Louis De Jaeger, dans De Standaard.
Quand ils laissent un peu de place à la nature sauvage, nos jardins sont bien de précieux alliés pour aider la biodiversité. C’est l’un des grands enseignements de l’opération En mai, tonte à l’arrêt, que Le Vif rééditera l’an prochain. Une démarche tout aussi pertinente sur le plan scientifique, dont voici les principaux résultats.
Chaque hiver, Natagora invite les particuliers à compter les oiseaux qui visitent leur jardin. Le grand nombre de données récoltées aide ensuite nos spécialistes à mieux comprendre les phénomènes particuliers qui touchent les espèces les plus communes. Alors, sortez vos jumelles et devinez qui vient manger au jardin !
Chaque hiver, Natagora invite les particuliers à compter les oiseaux qui visitent leur jardin. Le grand nombre de données récoltées aide ensuite nos spécialistes à mieux comprendre les phénomènes particuliers qui touchent les espèces les plus communes. Alors, sortez vos jumelles et devinez qui vient manger au jardin !
« Je vois les gens paniquer pour leur buis, suite à l’invasion des phalènes et recourir à des pesticides. A un moment il faut passer à autre chose. Si une plante est systématiquement malade, plutôt que de s’acharner, de la couvrir de produits, il vaut mieux opter pour une variété adaptée ! » (Luc Noël – jardinier – Jardins et Loisirs)
Comme dans de nombreux châteaux de la Loire, dont les propriétaires ont arraché les topiaires, au profit d’autres essences.
Durant tout le mois de juillet, Natagora vous invite à compter les papillons de votre jardin et à nous envoyer vos observations. Vous pouvez encoder autant de jours d’observation que vous le souhaitez. Vous aiderez ainsi nos spécialistes à mieux comprendre les phénomènes particuliers qui touchent les espèces les plus communes.