Par Jessica Flament
En 2019, Riccardo Corradini, 25 ans, est devenu le premier étudiant européen à faire son Erasmus dans la bande de Gaza, où les affrontements sont fréquents entre militants palestiniens et l’armée israélienne.
Par Jessica Flament
En 2019, Riccardo Corradini, 25 ans, est devenu le premier étudiant européen à faire son Erasmus dans la bande de Gaza, où les affrontements sont fréquents entre militants palestiniens et l’armée israélienne.
Comment peut-on parler de « productivité » en médecine générale? Choquée par les récents propos de l’ex-commissaire corona Pedro Facon, une généraliste de Jemeppe-sur-Sambre réagit.
Une lettre ouverte signée Nadja Hock, médecin généraliste.
A lire sur : https://www.lalibre.be/debats/opinions/2022/10/26/monsieur-pedro-facon-combien-de-temps-nous-laisserez-vous-pour-annoncer-a-un-patient-quil-va-mourir-YMIW4SGTUBBEPOJJOLS2DRPTZ4/
Rentabilité, gestion,productivité, …. ne leur parlez pas d’humanisme, d’empathie, …. !
Aujourd’hui, jour de l’examen d’entrée francophone en médecine, le PTB et Médecine pour le Peuple mènent une action symbolique à Vilvorde et Anderlecht, deux communes où il est extrêmement difficile de trouver un médecin généraliste. Le PTB ne parvient pas à comprendre que, malgré la pénurie de médecins généralistes, les gouvernements continuent de choisir de limiter le nombre de nouveaux médecins par le biais d’examens d’entrée.
La suite sur : https://www.ptb.be/le_ptb_tire_la_sonnette_d_alarme_il_y_a_trop_peu_d_tudiants_en_m_decine
« Près de trois communes sur quatre en Flandre et une sur deux en Wallonie font officiellement face à un manque de médecins, et même Bruxelles n’est pas épargnée »
Comme pour l’enseignement, le gouvernement prônera-t-il des « flexi-jobs » !
Par J.F.
Les créations de cet étudiant en médecine de 25 ans ont fait le tour du monde. Il faut dire que Chidiebere Ibe a fait ce que personne n’avait fait avant lui : illustrer des manuels de médecine avec des personnes noires.
On se demande pourquoi il a fallu attendre si longtemps !
Comment les femmes vivent-elles leur accouchement? Telle est la question que s’est posée la Plateforme citoyenne pour une naissance respectée qui a mené l’enquête, grâce à un financement de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Sur base des réponses de plus de 4.000 femmes qui ont accouché entre 2019 et juin dernier, l’organe constate que les violences gynécologiques et obstétricales sont « loin d’être un mythe ».
La suite sur : https://www.levif.be/actualite/sante/accouchement-les-violences-gynecologiques-sont-loin-d-etre-un-mythe/article-news-1493231.html
Par Sophie Jassogne
Pour les soignants et les patients, le modèle traditionnel biomédical et curatif qui se focalise sur la guérison des problèmes aigus est devenu insuffisant. L’exercice de l’art médical doit aujourd’hui concilier le scientifique et le facteur humain.
Une carte blanche de Jean-Pierre Unger, Prof. Em. Institut de Médecine Tropicale d’Anvers, Département de Santé Publique, Visiting Professor, Health and Society Institute, University of Newcastle. (https://jeanpierreunger.be/)
On ne mesure pas suffisamment les conséquences désastreuses de la commercialisation des soins de santé.
Une chronique de Laura Rizzerio
Le soin impose une relation. En ce sens, il est peut-être ce que l’humanité possède de plus essentiel à sa survie. C’est ce que nous ont rappelé les manifestations récentes des assistants en médecine.
En ces mois de pandémie, les soignants ont joué un rôle essentiel pour éviter l’effondrement de nos sociétés malades. Nous les avons tout d’abord applaudis, pour les oublier ensuite et les détester enfin, les tenant pour responsables des mesures sanitaires que nous ne supportons plus. Le récit du travail acharné des soignants dans les hôpitaux a aussi progressivement disparu des médias, jusqu’au mois dernier du moins, lorsque les assistants en médecine ont annoncé une grève pour dénoncer des conditions de travail jugées inadaptées à la formation dont ils ont besoin pour devenir de « bons » soignants.
La suite sur : https://www.lalibre.be/debats/opinions/qui-soignera-les-soignants-60b8fd547b50a61dfe9725c8
“Au moment d’être admis(e) à exercer la médecine, je promets et je jure d’être fidèle aux lois de l’honneur et de la probité.
Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux.
Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J’interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité. Même sous la contrainte, je ne ferai pas usage de mes connaissances contre les lois de l’humanité.
J’informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences.
Je ne tromperai jamais leur confiance et n’exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences.
Je donnerai mes soins à l’indigent et à quiconque me les demandera. Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire.
Admis(e) dans l’intimité des personnes, je tairai les secrets qui me seront confiés. Reçu(e) à l’intérieur des maisons, je respecterai les secrets des foyers et ma conduite ne servira pas à corrompre les moeurs.
Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément.
Je préserverai l’indépendance nécessaire à l’accomplissement de ma mission. Je n’entreprendrai rien qui dépasse mes compétences. Je les entretiendrai et les perfectionnerai pour assurer au mieux les services qui me seront demandés.
J’apporterai mon aide à mes confrères ainsi qu’à leurs familles dans l’adversité.
Que les hommes et mes confrères m’accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses ; que je sois déshonoré(e) et méprisé(e) si j’y manque.”