Lésions oculaires, fractures,mutilations… : des blessures graves, parfois mortelles. Partout dans le monde, les forces de sécurité utilisent de façon abusive des armes de maintien de l’ordre pour réprimer des manifestations pacifiques. Une pratique de plus en plus généralisée. Cette tendance mondiale pose la question, pressante, de la mise en place d’un encadrement de ces armes à létalité réduite afin de protéger le droit de manifester.
Le projet de loi modifiant le régime des accises sur la consommation non professionnelle de gaz et l’électricité a été approuvé aujourd’hui en commission finances de la Chambre. À partir du 1er avril, chaque ménage paiera 264 euros d’accises par an en plus sur les factures de gaz et d’électricité. « La Vivaldi reprend d’une main ce qu’elle avait donné de l’autre », dénonce Marco Van Hees, député fédéral du PTB. Le parti de gauche a voté contre et a déposé un amendement visant à annuler l’augmentation des accises, qui a été rejeté par la commission Finances.
Le PTB veut empêcher la hausse des accises et baisser les factures d’énergie.
Le PTB lance une grande contre-offensive pour empêcher la hausse des accises sur l’énergie. Le moment n’est pas choisi au hasard : la proposition du gouvernement d’augmenter les accises passe aujourd’hui en commission Finances de la Chambre. Le député PTB Peter Mertens annonce l’arrivée d’une proposition de loi écrite de sa main qui permettra d’empêcher les plans de la Vivaldi et de baisser les factures d’énergie. Le parti de gauche couple cette proposition de loi à une ambitieuse campagne de terrain visant à récolter 100 000 signatures d’ici juin.
Des parlementaires des divers partis se sont prononcés plus ou moins clairement en faveur du maintien de guichets physiques. Sans surprise, les plus proches des multinationales et des GAFAM sont les plus timorés, et ceux qui se veulent les plus proches de la population et des démunis sont les plus engagés.
En cette fin d’année, en arrière-plan des sujets brûlants comme l’inflation, le climat ou la guerre en Ukraine, se joue une question récurrente : celle de l’usage des pesticides. Elle touche à l’alimentation, la santé, l’agriculture et l’environnement. Alors qu’il est question de légiférer ou de restreindre l’usage des pesticides, les lobbies de l’agriculture industrielle brandissent la nécessité de « nourrir le monde » et agitent le spectre de la « famine dans les pays les plus sensibles ». Nous ne sommes pas dupes. Leur objectif est clair : profiter des crises pour faire reculer le peu de contrainte existante, maintenir un statu quo qui leur est bénéfique, quitte à saborder la barque dans laquelle nous sommes tous.
Les entreprises agrochimiques et semencières veulent imposer de nouveaux organismes génétiquement modifiés (OGM) sur le marché, en dehors de tout étiquetage et de tout contrôle de leur impact sur la santé et l’environnement, forçant ainsi les aliments génétiquement modifiés à se retrouver dans nos champs et nos assiettes sans que nous ne le sachions.
La Belgique a signé en 2005 le Protocole facultatif de la Convention des Nations Unies contre la Torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants (OPCAT).
Elle s’est alors engagée à le ratifier, ce qui n’a toujours pas été fait à ce jour.
En juillet 2018, un projet de loi portant assentiment à l’OPCAT a été adopté mais en octobre 2022, cette loi dûment votée par le Parlement n’a toujours pas été publiée au Moniteur belge.
La moitié des déplacements en avion est monopolisée par les 2% de Français les plus riches. Légitimement décriés, les vols en jet privé rejettent entre 5 et 14 fois plus de gaz à effet de serre que les avions commerciaux, eux-mêmes déjà fortement émetteurs !
Symboles de l’injustice climatique, les vols en jets privés représenteraient près de 8% à 10% des déplacements aériens en France !