La marée brune : « la crise n’est pas le facteur dominant ».

Par Olivier le Bussy  

La dégradation économique ne suffit pas à expliquer la montée des partis extrémistes, selon Jean-Yves Camus. Qui profitent de la perte des repères, de la défiance envers les élites et de la disparition des idées mobilisatrices.
EntretienSpécialiste de l’extrême droite, le politologue français Jean-Yves Camus livre son analyse sur les racines du succès des formations nationalistes, populistes et d’extrême droite en Europe.

Ces phénomènes politiques ont-ils des racines communes ?

Il y a des histoires spécifiques à chaque pays qui conditionnent assez largement le contenu idéologique des partis qui émergent. Il a également des phénomènes globaux qui touchent l’ensemble de l’Europe qui expliquent en partie la montée des partis nationalistes.

Lire la suite de son interview sur : http://www.lalibre.be/actu/international/article/662439/la-maree-brune-la-crise-n-est-pas-le-facteur-dominant.html

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Une Réponse to “La marée brune : « la crise n’est pas le facteur dominant ».”

  1. La marée brune : « la crise n’est pas le facteur dominant . (via Mes coups de coeur) « les échos de la gauchosphère Says:

    […] Par Olivier le Bussy   La dégradation économique ne suffit pas à expliquer la montée des partis extrémistes, selon Jean-Yves Camus. Qui profitent de la perte des repères, de la défiance envers les élites et de la disparition des idées mobilisatrices. Entretien : Spécialiste de l’extrême droite, le politologue français Jean-Yves Camus livre son analyse sur les racines du succès des formations nationalistes, populistes et d’extrême droite en Europe. C … Read More […]

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