» A l’israélienne », le CRIF emploie des méthodes de gangsters face au rejet croissant qui s’exprime dans la population concernant le régime d’apartheid. Dans un entretien à La Dépêche du Midi, Franck Touboul (président du CRIF Midi-Pyrénées) a tenu des propos diffamatoires et menaçants suite au succès du rassemblement unitaire à Toulouse contre le plan d’annexion de la Cisjordanie, et en particulier contre le Collectif Palestine Vaincra.
Hier, tout était confus. Un observateur de bonne foi aurait pu croire que des manifestants samedi, place de la République, avaient crié « Sales Juifs ! ». Vingt-quatre heures plus tard, il s’agit d’un mensonge qui n’a aucune excuse.
Sept morts et 45 blessés à 21 h mardi, dans la bande de Gaza.
Les bombardements israéliens sur Gaza se poursuivaient mardi soir et l’on recensait 7 morts et 45 blessés, après l’assassinat d’un dirigeant du Djihad islamique et de son épouse, pendant leur sommeil, ce mardi à l’aube.
Le ministère français de la Justice a dépensé beaucoup d’argent pour doter Paris d’un tribunal moderne. C’est tant mieux. Reste à trouver des sous pour rénover les prisons, mais là, les crédits restent à l’ombre. Il serait bien aussi, et le poste n’est pas onéreux, que la place Vendôme dote son administration d’un service médical efficace. En effet, le vendredi 17 mai, alors qu’elle tenait l’estrade de la XVIIème Chambre correctionnelle, la présidente n’a cessé de bailler, ce qui nous inquiète ; car sûrement maladif.
Sur la page du site du CRIF réservé aux réseaux sociaux, on trouve cette publication Facebook :
« #Antisémitisme – Hier, les manifestations des Gilets Jaunes ont donné lieu à des actes de violences intolérables.
Un tag antisémite des plus ignobles a été découvert sur la vitrine d’une boutique Bagelstein.
Un fait qui rappelle les heures les plus sombres de l’Histoire.
Nous espérons que les auteurs de cet agissement odieux seront arrêtés et condamnés avec la plus grande sévérité. »
Le dessinateur Joan Sfar a alors accusé les Gilets jaunes d’en être les auteurs. Il a alors développé son propos en parlant de centaines de tweets et de tags antisémites qui seraient charriés par les Gilets jaunes.
Le 20 novembre, Francis Khalifat, le président du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) s’est rendu à Vienne avec le Congrès juif européen. À cette occasion, il a rencontré longuement le chancelier autrichien Sebastian Kurz.
Il a 61 ans, il est Palestinien de la région d’Hébron, il est en grève de la faim depuis 25 jours, car Israel le maintient en « détention administrative », c’est à dire sans la moindre inculpation depuis un an… mais cela fait en tout 24 ans de sa vie que l’occupant s’amuse à l’arrêter, l’emprisonner, le relâcher et le ré-emprisonner !
La LICRA qui se prétend une association de lutte contre le racisme et l’antisémitisme passe en réalité son temps à attaquer les véritables mouvements antiracistes, et le montre une fois de plus en s’attaquant à la FASTI, une association d’aide aux immigrés et en demandant à la mairie de Paris de lui couper ses subventions. : http://europalestine.com/spip.php?article14859
Une conférence intitulée « lutter contre la désinformation sur Israël avec la participation de Meyer Habib, député et Olivier Rafowicz, colonel de réserve de Tsahal » est annoncée le 15 octobre au Palais des Congrès de Marseille.
La désinformation, c’est l’apologie des crimes de guerre et la négation du peuple palestinien !
Ce jeudi 20 septembre, c’est avec effroi que nous avons découvert cette inscription, sur la porte d’entrée d’un immeuble de la rue Ordener, dans le 18ème arrondissement de Paris : « Ici vivent des ordures juives, notamment au troisième. » Le sinistre message est accompagné d’un dessin de croix celtique, symbole utilisé notamment par les groupes néo-fascistes et l’extrême-droite nationaliste. Alors que le contexte politique national est notamment marqué par la constance de la progression électorale du Rassemblement national (ex-FN) et par la résurgence des groupes néo-fascistes, d’ultra-droite et identitaires (attaques contre le mouvement étudiant au printemps 2018, ouvertures de locaux et de salles dans plusieurs villes, démonstrations de force contre les réfugiés), cet acte violemment antisémite témoigne de la vitalité et de la dangerosité de l’antisémitisme de ces courants politiques, dont il porte le vocabulaire et la symbolique.
En cette période de rentrée, la question de la puissance des lobbies a été mise à l’ordre du jour par la démission de Nicolas Hulot.
C’est pour nous l’occasion de dénoncer la puissance du lobby qui soutient inconditionnellement la politique de l’État d’Israël, et qui cherche à faire taire toutes celles et ceux qui s’y opposent. L’action de ce lobby s’est développée de manière inquiétante pendant l’été, citons par exemple :