Par Matthieu Bogosavlijevich
Après les jeux paralympiques, la coupe du Monde de football, voici l’heure des festivals de musique et opéras de bannir leurs lieux des horribles Russes. Fut un temps non lointain le diable s’appelait non vacciné, ou anti-pass, au choix. Désormais c’est la citoyenneté russe qui peut être gage d’ostracisation et de discrimination.
« Il existe un double standard, appelé aussi deux poids deux mesures, à l’égard des victimes de guerre en fonction de la nationalité qu’elles ont. Si elles sont de nationalité des États clients des États-Unis, leur importance sera grande, tandis que si elles font partie d’un État rival, voire ennemi, alors leur importance sera négligeable. »